• William Adolphe Bouguereau :
    Nymphes et Satyre
    La vaccination en France

     

     Bonne année à tous

     


  •  Pas plus de 6 ! Attention,  les Furies veillent !

    Réveillon :l pas plus de 6 !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chez moi, nous avons prévu d'être plus de 15... en visio-conférence ! 

    Ceci étant dit, ma famille étant dispersée sur trois continents, il aurait été difficile de faire autrement. 

     Bon réveillon à tous !

     

     

     

     

     

     

     



  • Les négociations sur le Brexit combinées à l’épidémie de Coronavirus nous auront décidément appris bien des choses surprenantes sur l’Union Européenne.

    - La première a été que c’est la Grande Bretagne qui devait de l’argent à l’Union et pas le contraire. Depuis le "Pay me back" de Thatcher, on avait un peu l’impression du contraire, non ?
    Nos démocraties sont trop modestes. Elles distribuent sans exiger ni remerciements ni reconnaissance. Résultat : dans l’esprit puéril de beaucoup de nos contemporains, la gratuité de la santé, de la scolarité, les aides aux logements, les allocations familiales, le RSA et tout le reste sont apparus ex-nihilo sans aucune intervention humaine et politique (et même surtout pas politique, les politiciens ne pensant au contraire qu’à s’en foutre plein les poches au passage). L’Europe et la démocratie parlementaire à l’occidentale vont crever de ça : personne n’a conscience de ce qu’elles nous apportent. Tout le monde connaît leurs défauts, personne ne connaît leurs qualités.


    La deuxième leçon est qu’on apprend maintenant qu’être soumis aux règles de l’OMC est synonyme de droits de douane importants et donc qu’une absence d’accord entre l’Union et la Grande Bretagne serait une catastrophe pour les deux parties car elle entraînerait des droits de douane faramineux. Or, je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai toujours entendu les démagogues populistes répéter que l’OMC privilégiait la libre circulation des biens sans contrôles ni droit de douanes. D’ailleurs tous ceux qui préconisent de "protéger" leurs économies nationales (Trump, Mélenchon, Le Pen…) concentrent leurs critiques sur les règles trop laxistes édictées par l’OMC.

     

    La troisième est que la crise du coronavirus a montré qu’il n’y a pas, dans les grandes puissances démocratiques occidentales, de politiques alternatives miraculeuses possibles. On voit aujourd’hui la Grande-Bretagne, libérée de la "dictature de la Commission Européenne", obligée de se confiner comme tout le monde, de fermer ses pubs et ses restaurants, comme tout le monde, de vacciner sa population, comme tout le monde, de fermer très provisoirement ses frontières comme tout le monde et de les rouvrir ensuite comme tout le monde.

    La seule vraie alternative à nos démocraties sont les énormes camps de concentration communistes où il faut non seulement obéir aux ordres mais aussi remercier les dirigeants,  à haute voix et avec le sourire, svp,  pour les bienfaits qu'il nous prodiguent dans toutes les occasions de la vie.

     


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    Pourquoi je t'aime ? Et depuis si longtemps ! Car je connais si peu de choses sur toi, finalement ! Je sais surtout que tu es morte et, paradoxalement, c’est cela qui me donne la certitude que tu as existé. Je sais aussi que ta mort fut violente et ton agonie cruelle. Car tu es morte emportée par un glissement de terrain, ensevelie sous une coulée de boue. Ca c’est une certitude, car on a retrouvé ton corps dans ce linceul d’argile rouge que t’a offert la Nature après t'avoir tuée. On sait aussi que tu fuyais. Ca aussi c’est une certitude, on a les traces de tes pas.  Combien de temps a duré ta fuite, on ne sait pas : on n’a que les traces de tes derniers pas, le reste a été effacé.

    A partir de ça, les enquêteurs ont tenté de reconstituer les derniers instants de ta courte vie. Ils ont d’abord affirmé que tu fuyais avec un bébé sur les bras, car les quelques traces laissées par tes pieds dans le sol imbibé d’eau étaient plus profondes du côté gauche. Tu fuyais donc avec un bébé sur les bras, ça t’a ralenti et tu as été rattrapée par le torrent de boue qui t’a brisé les os pour te faire lâcher ton bébé et l’emporter loin de toi avant de t’ensevelir.

    Bien plus tard, d’autres experts feront remarquer que les brisures relevées sur ton corps sont typiques de celles provoquées par une chute de hauteur. Ils ont même pu évaluer de quelle hauteur tu serais tombée : environ 12 mètres. Tu aurais donc grimpé à un arbre pour tenter d’échapper au torrent de boue mais tu aurais perdu l’équilibre et tu serais tombée. Peut-être au moment où l’arbre lui-même était en train de céder à la force du torrent. Peut-être aussi que tu grimpais avec le bébé sur les bras et que c’est cela qui t’a perdu. Tu aurais tenté par réflexe de retomber sur tes pieds ce qui expliquerait la particularité des traces de pieds laissées sur le sol.

    Aujourd’hui, on découvre des traces de crocs de saurien visibles sur les os de ton bassin. Tu as peut-être été happée par un crocodile et entraînée vers le fond selon une technique de chasse qui est propre à cette espèce depuis longtemps. Quelle horreur ! Mais ce sont certainement des blessures post-mortem car cette hypothèse se heurte au fait que l’on ait retrouvé ton corps presque intact. 

    La présence du bébé n’est pas certaine, mais j’aime imaginer malgré tout que tu fuyais avec ton petit sur les bras, ma petite Lucy. Car c’est certainement à cause de la difficulté de fuir avec un enfant sur les bras que les tiens - les NÔTRES, pardon - ont un jour décidé d’arrêter de fuir et d’affronter la Nature et ses dangers. En développant l’élevage et l’agriculture pour échapper aux dangers de la chasse et aux aléas de la cueillette, et en construisant des villages fortifiés pour éviter cette fuite perpétuelle. A partir de cela, viendront comme conséquences quasi inéluctables, les grandes cités, l'écriture et les lois, l’art de la guerre et l’architecture, la littérature et la poésie, la musique et le chant,  la médecine et la science. La civilisation.

     

     


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    Merci mon cher blogueur, qui m'apprend que Covid,
    Ce Coronavirus créé sur notre sol
    Et transporté en Chine dans le dessein morbide
    De revenir chez nous pour prendre son envol,
    Va dépeupler la terre par un grand génocide

    Merci aux complotistes

    Merci  patriote qui m'apprit que le vaccin
    Créé par Big Pharma et le gouvernement
    A pour unique objet de tuer l’Européen
    Pour procéder ensuite à son grand remplacement
    Sur une terre désertée jusque dans ses confins

    Merci aux complotistes

    Merci retraité qui m'informe que ce bazar,
    -Maladie, confinements et réanimations-
    N'a qu'un seul objectif : tuer tous les vieillards
    Afin de leur voler leurs petites pensions
    Pour financer bien sûr la grande corruption.

    Merci aux complotistes

     

     

    Bravo au Marseillais, qui sut dès l'origine
    Que la fin de partie de cette petite grippette
    Grace au breuvage magique d'hydroxychloroquine,
    D'une grande renommée ferait sonner les trompettes
    Prometteuse d'un futur Prix Nobel de médecine

     

     


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    La première fois que j’ai succombé à la tentation délicieuse et coupable de l'aventure extra-conjugale, c’était avec Muriel, une femme pourtant plutôt froide et autoritaire. Ca m'est arrivé après dix ans de fidélité. Dix ans de mariage et pas une tromperie ! Que celui (ou celle) qui a fait mieux me jette la première pierre ! Le défi ne s’adresse, bien sûr, qu'aux personnes de la vraie vie, celles dont la chair est faible, celles qui ne savent pas résister à la tentation, celles qui n’ont qu’une vie et qui se demandent tout le temps si elles ne sont pas en train de la gâcher ! Et qui en se demandant cela, la gâche peut-être...!

    Enfin, bref, c’était une "Supervisor Manager" d'un gros cabinet d'audit, détachée dans mon service pendant deux mois pour suivre et contrôler le respect des nouvelles procédures que nous étions en train de mettre en place.
    36 ans, divorcée, pulpeuse, vêtements un peu austères mais moulants, le port un peu rigide, le regard assuré, la répartie un peu garce, ne baissant jamais les yeux devant un regard insistant, sachant évoluer en milieu hostile sans se laisser marcher sur les pieds, voilà l’impression toute professionnelle que j’eus d’elle après une semaine.

    Elle restait au bureau relativement tard, autour de 20 heures parfois, ce qui fait que nous nous retrouvions tous les deux seuls au 4e étage et que nous discutions un peu avant de nous en aller. De boulot au début, puis de plus en plus de choses et d’autres, émission de télé, actualités…

    Un jour, au cours d'une conversation banale, elle me dit qu’elle s’était acheté une console de jeux et qu’elle passait une grande partie de ces week-ends à y jouer. Cette petite confidence sans conséquence me troubla. J'étais troublé qu'elle me parle de sa vie personnelle, qu'elle dévoile une fragilité, qu'elle me fasse savoir indirectement qu'elle vivait seule... Etait-ce une ébauche d'esquisse d'autorisation de lui faire des avances ? Mais quoi ? peut-être aussi que je me trompais du tout au tout... Je décidai de me lancer prudemment en lui rappelant que j’étais marié (puisque de toute façon elle le savait ) et que j'étais un bon père de famille. Vous voyez le genre ? "Ah oui ? Une Game Gear ? C'est le cadeau à la mode. Ma femme envisage d’en offrir une à notre fille aînée pour la Noël ! Moi, je ne sais pas si c'est de son âge, je veux d'abord voir ce que c'est, je ne sais pas du tout de quoi ça parle, ces trucs !" 

    J’obtins comme réponse : "Hé bien, passez chez moi un de ces jours, je vous ferai une démonstration et vous verrez que vos craintes ne sont pas du tout fondées."

    Ô mon Dieu ! Elle n’avait pas terminé sa phrase que je compris que j’avais une énorme envie d’elle, une gigantesque envie de sexe avec elle, avec une autre femme que ma femme ! Je l’aimais pourtant, la mère de mes enfants, et je n’avais pas envie de lui faire de la peine, pas envie de l’humilier, pas envie de la tromper ! Mais il me venait comme une évidence que ce n’était pas possible que je n’ai de relations sexuelles qu’avec elle pour le reste de ma vie ! Il m’apparaissait que ce n’était pas dans l’ordre des choses qu’un homme, que moi en l’occurrence, je ne fasse plus désormais l’amour qu’à une seule et unique femme et de surcroît à une femme dont je connaissais tellement le corps, et dans ses moindres recoins, dont je connaissais tellement les réactions à chaque caresse, à chaque position que, paradoxalement, il n’y avait plus d’émotion possible avec elle !

    Ne m’en veuillez pas, chères lectrices qui me faites la grâce de me lire, je sais bien que vous désapprouverez la suite de cette histoire et que vous penserez que les hommes sont des êtres frustes et grossiers, mais pour moi, ce soir-là, c’est l’amour conjugal qui me paraissait hygiénique et dénué de sentiments et l’amour extraconjugal qui me semblait porteur d’émotions, de douceurs sensuelles et de plaisirs divins.

    Je pris quelques jours pour habituer ma femme à l’idée que je rentrerais tard les jours suivants en lui racontant que de gros clients nous avaient mis la pression pour avoir leur dossier avant la fin du mois sous peine de nous retirer la mission, que cela signifiait des réunions de travail très tard le soir à prévoir bientôt et que j’en avais marre et que j’envisageais sérieusement de démissionner ! La pauvre chérie m’apporta avec tendresse son soutien, m’assura qu’elle partageait mes soucis, m’encouragea à réfléchir avant de prendre une décision aussi grave.

    Quelques jours après, je me retrouvai chez Muriel pour une démonstration de Game Gear ! Je me souviens d’une légère odeur de friture quand elle m’ouvrit sa porte. Elle commença par me faire la visite de son bel appartement, coquet et bien rangé : le salon, le coin cuisine, le petit balcon… Au moment où elle me montrait sa chambre, à la vue de son lit un peu défait, je n’ai pas pu résister à la tentation de la prendre dans mes bras. Elle s’est laissée faire avec passivité et sensualité.

    Ah quel bonheur ! Quel bonheur de toucher une femme pour la première fois, de caresser un corps que vous n’aviez pas le droit de toucher quelques secondes auparavant ! Quel bonheur d’ouvrir le corsage d’une femme et de découvrir son ventre, de dégrafer son soutien et de voir ses seins lourds offerts à vos caresses, à vos baisers, à vos suçons. Quel bonheur de s’allonger sur le lit d’une femme tout en l’embrassant, de lui caresser le corps en se dirigeant lentement vers son sexe. Quel bonheur de lui toucher le sexe à travers la culotte et de palper la douce humidité de son désir. Quel bonheur d’enlever la culotte d’une femme en train de vous embrasser et qui ne fait rien pour vous aider, à part soulever légèrement le bassin pour rendre la chose possible. Aaah, Quel bonheur, quel plaisir de voir et de sentir une femme s’abandonner avec une sensualité lascive à votre désir impatient ! Quel plaisir de la voir réagir au moindre de vos gestes, de sentir ses cuisses s’écarter sur un simple effleurement de vos doigts, de la voir ouvrir la bouche pour vous offrir ses lèvres juste parce que vos lèvres sont à portée des siennes !

    Je lui fis l’amour avec fougue et passion, désireux de profiter pleinement de ma vie sexuelle enfin retrouvée, mais aussi avec tendresse, soucieux de ne pas lui donner le plus petit motif de penser que je la traitais en "maîtresse d'un homme marié".

    Elle me fit un ultime cadeau en me lançant une bordée de mots grossiers au moment où elle atteignait le summum de son plaisir. Un cadeau, non pas parce que j’aime entendre des grossièretés pendant l’amour, mais parce qu’il était évident que cela échappait à sa volonté et qu’elle les aurait volontiers contenus si elle avait eu le moindre contrôle sur elle-même. Un cadeau, parce qu’il était important pour moi, à ce moment-là, d’être certain que je pouvais faire jouir une autre femme que la mienne.

    Une fois nos sens apaisés, je restai allongé un moment sur le lit, elle blottie contre moi, tous les deux en train de fumer. Il était déjà 23 heures passées, il allait falloir que je m’en aille… Mais le sentiment de mélancolie et de culpabilité post-coïtus propres aux grands naïfs (dont je suis) me paralysait un peu : n’y-avait-il pas là un énorme malentendu ? Peut-être était-elle amoureuse de moi ? peut-être pensait-elle que j’allais quitter ma femme pour elle ? Mon Dieu, dans quelle situation me suis-je mis ?  Pauvre petite, il allait falloir lui dire avec beaucoup de tact que ça avait été une belle aventure mais que la vie est quelque fois cruelle avec les gens qui s'aiment et que…

    C’est elle qui me ramena à la raison : " Houla, il est déjà onze heures ! Il faut que tu y ailles, ta femme va s’inquiéter !"

    - Euh... oui,  oui, je vais y aller ! On se revoit quand ?

    - On ne se revoit pas. Ma mission se termine la semaine prochaine.

     

     


  • Michel ONFRAY a eu le Covid. Il s'en est sorti, heureusement pour lui. Et il nous raconte.  Et ce qu'il nous raconte ne manque pas de piquant quand on sait qu'il a été un chaud partisan du Professeur RAOULT et de son traitement miracle, l'hydroxychloroquine.  Le récit complet est sur son site.  Les parties soulignées le sont, bien sûr, par moi. 


     

    Dans l’après-midi, je m’en ouvre à Dorothée: je suis fiévreux, j’ai vraiment de la fièvre, 38.5, j’ai des courbatures terribles, j’ai mal à la tête, je suis extrêmement fatigué.(...) J’apprends le lendemain lundi 23 novembre vers 16h00 que je suis positif.  (...)

    Mon premier mouvement consiste à joindre le professeur Raoult. Mon médecin entre en contact avec l’équipe marseillaise. Il a cru à l’hydroxychloroquine, y croit moins, voire n’y croit plus beaucoup, mais m’expose les faits: mon passé de cardiaque m’expose à un risque de mortalité induite par l’usage de ce médicament. «Torsades de pointe» est-il dit pour caractériser la mort qu’on risque en prenant cette thérapie dont on ne sait, finalement, si elle soigne ou non. Pour l’heure, je n’ai pas envie de mourir en martyr de l’hydroxychloroquine! Passer l’arme à gauche non pas à cause du Covid mais à cause du médicament censé le soigner, c’est plus d’ironie que je n’en peux ces temps-ci!

    J’entre donc dans la médecine de Molière à laquelle le Covid contraint la totalité du corps médical planétaire: des antibiotiques, du zinc, de la vitamine C… «De l’eau, beaucoup d’eau, bien s’hydrater», etc. 


    Donc tout bien réfléchi et mis au pied du mur, notre philosophe s'est dit que choisir le traitement de "la totalité du corps médical planétaire" (même s'il le qualifie au passage avec mépris de "médecine de Molière") était peut-être plus indiqué que les remèdes miracles que le grand génie refuse de soumettre aux protocoles  de validation requis par sa profession ! 

    Voilà, voilà, Il est d'accord pour soutenir le combat du professeur Raoult contre le "système", mais pas au point de risquer sa vie, faut pas déconner non plus ! La vie des autres suffit bien pour qu'il ne soit pas utile d'y ajouter la sienne !


     

    PS : voici un extrait de ce qu'il disait de RAOULT il n'y a pas si longtemps !  (cliquez pour agrandir)

    Le philosophe malade du Covid

     

     

     

     

     

     

     


  • Deux citations à propos de l'Europe attribuées à des hommes d'Etat. La première est drôle, la seconde est vraie


     

    Au ciel, le policier est anglais, le cuisinier français, l'amant italien, le mécanicien allemand et l'administrateur suisse.

    En enfer, le policier est allemand, le cuisinier anglais, l'amant suisse, le mécanicien français et l'administrateur italien.

    Valéry Giscard d'Estaing



    En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit.

    En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis.

    En France, tout est permis, même ce qui est interdit.

    En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis"

    Winston Churchill


     

     

     

     


  • J’ai un four à micro-ondes. C’est pratique, ça fait gagner du temps.

    J’ai pris l'option "trafic" du GPS dans ma voiture. Pour éviter les bouchons et gagner ainsi du temps.

    J’ai un smartphone avec agenda partagé. C’est pratique pour les réunions avec les collègues. Ca me fait gagner du temps.

    Je prends rdv avec mon médecin sur Doctolib. Je gagne ainsi du temps.

    D’ailleurs, si c’est possible, j’utilise la téléconsultation. C’est plus rapide, ça me fait gagner du temps

    Pour mes clients, je privilégie les mails groupés plutôt que les coups de fil. Ca me fait gagner du temps.

    Je rentre tard chez moi le soir pour éviter les embouteillages. Au final, ça me fait gagner du temps.

    J’ai activé sur ma box un petit programme qui me présente les émissions intéressantes. Ca m’évite de chercher. Ça me fait gagner du temps.

    Avec tout ce temps gagné, je cherche pendant des heures sur internet d’autres trucs à acheter pour me faire gagner du temps.

     

     


  • Si, si, je vous assure, mes amis, qu'Europe est d'origine libanaise. Si vous en doutez, lisez et regardez ce qui suit.


    Selon la mythologie grecque, Europe, était la fille du roi de Tyr, une ville de Phénicie (le Liban d’aujourd’hui). Zeus, pour la séduire, se métamorphosa en taureau blanc, sur une plage de Sidon (aujourd’hui ville libanaise de Saïda) afin de l’approcher.

    La naïve Europe chevaucha le beau taureau blanc qui l’enleva et l’emmena sur l’île de Crète. Là sous un platane qui depuis est toujours vert, Zeus reprit forme humaine et s’accoupla  avec Europe.

    De leur union sont nés trois enfants dont le dernier ira s’exiler à Milet en Anatolie (en Turquie actuelle).

    Une fois lassé d’elle, Zeus offrira Europe comme épouse au roi de Crète, Astérion.


     Et j'ai même des preuves en image :


     Félix Valloton, L’enlèvement d’Europe

    Les origines libanaises de l’Europe

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     Henry Matisse, L’enlèvement d’Europe

    Les origines libanaises de l’Europe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     Pablo Picasso, L’enlèvement d’Europe

    Les origines libanaises de l’Europe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     Fernando Botero, L’enlèvement d’Europe 

    Les origines libanaises de l’Europe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     Salvador Dali , L’enlèvement d’Europe

    Les origines libanaises de l’Europe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

    Alors, vous me croyez maintenant ? Europe est bien une Libanaise ! Enlevée et violée par un Grec et mariée de force à un Crétois, certes, mais c'est quand même bien une Libanaise !