• Hommage aux chacals violents et hargneux

    Ceci est un billet d'humour (encore que...) 

    Hommage aux chacals violents et hargneux

    Ils sont cons, ils sont laids, ils sont incultes, antipathiques, violents, ils sont prétentieux et arrogants...!

    Et pourtant...

    Et pourtant, les plus belles nanas se battent pour sortir avec eux,  pour s'afficher avec eux, pour avoir l'honneur d'entrer dans leurs lits ! 

    Quelle injustice pour les braves moutons pacifiques que nous sommes !

    Ils les trompent ! pas de problème, elles pardonnent !

    Ils les plaquent ! pas de rancune, elles resteront leurs meilleures amies et continueront à les encenser !

    Ils les frappent !  Oh, pas grave, c'est juste la manifestation "d'une sensibilité à fleur de peau", du caractère entier et emporté propre aux génies !

    Les féministes, si promptes à crier au scandale pour des faits remontant à quarante ans quand ils concernent les moutons, ne diront rien quand  ces chacals recevront une récompense alors qu'ils ont été condamnés pour violences sexistes il y a trois ans ! 

    Et les députés..., oui, nos élus, la  représentation nationale..., que font-ils ? Hé bien, ils mettent l'Assemblée Nationale à leur disposition pour qu'ils puissent y déclamer "les grands textes de Victor Hugo et d'Olympe de Gouges" ! Hé oui, un de ces chacals va lire des textes de la première féministe française alors qu'il a déjà été condamné pour violences conjugales, et que son casier judiciaire affiche une liste de condamnations pour violence envers les femmes longue comme un jour sans pain  ! Et personne ne trouvera rien à y redire !

     

    Alors, que voulez-vous que je vous dise, moi ? Tant pis pour nous, pauvres moutons pacifiques et respectueux, nous n'avions qu'à être des chacals violents, pervers et hargneux  si nous voulions plaire à ces jeunes femmes, belles, diplômées, intelligentes, sensuelles et, nec plus ultra, si peu féministes envers les hommes comme eux !

     

     

     

     

     

    « La text-tape d'Alfred de Musset Juan, la petite frappe »