• Bel accord national au Parlement (ce qui est rare par les temps qui courent) pour renvoyer les fous de Dieu dans leur paradis peuplé de vierges.
    Mais ça ne sert à rien. Bientôt on n'entendra plus QUE les opposants à la guerre contre l'Etat Islamique du Levant. Lesquels ?

    - Tous les "patriotes" qui pensent que ça ne sert à rien d'aller si loin pour combattre les terroristes de l'EIL alors qu'ils sont plus de cinq millions dans notre pays et présents au sein même du gouvernement.

    - Tous les pacifistes bêlants, les écolos barbus et le mari de Cécile, pour qui toute guerre menée par l'armée française est forcément une guerre contre le peuple français, ou une guerre coloniale, quelque soit le motif avancé.

    - Tous les trotskistes, les maoïstes, les autonomes, les frontistes de gauche, les communistes et d'une façon générale tous ceux qui s'affichent "à gauche de la gauche", pour qui toute guerre menée aux côtés de l'impérialisme américain est un crime contre les peuples et les masses laborieuses.

    - Toutes les belles âmes, sensibles à la misère du monde, qui crieront au génocide (suivi ou pas d'un "mort aux juifs") aux premières images de victimes que les responsables de la communication de l'EIL auront postées sur Twitter

    - Tous les hommes politiques responsables courageux qui, au nom du peuple, demanderont des comptes au gouvernement au premier  soldat Français mort

    - La famille du deuxième soldat mort qui portera plainte contre l'Etat-major pour négligence et mise en danger de la vie d'autrui .

    - Tous ceux qui, quelque soit le sujet, ont toujours la même opinion, à savoir que "les sommes dépensées dans cette affaire auraient été mieux investies dans la lutte contre la pauvreté en France"

    - Et toutes ces pauvres vierges du paradis qui finiront bien par trouver un moyen de nous contacter pour nous demander d'arrêter de leur envoyer des martyrs,  parce qu'elles sont débordées et qu'elles n'en peuvent plus.

     

     

     


  • Un des morceaux de musique les plus connus et les plus interprétés dans le monde est une berceuse toute simple.


    Summertime

    C'est l'été et la vie est facile
    Les poissons frétillent et la récolte est bonne
    Oh ton papa est riche et ta maman est belle
    Alors chut, mon bébé, ne pleure pas

    Un de ces jours
    Tu te lèveras en chantant
    Puis tu déploieras tes ailes
    Et tu te réfugieras dans le ciel
    Mais d'ici là
    Il ne peut rien t'arriver de mal
    Avec papa et maman à tes côtés

    Au départ c'est extrait de l'opéra "Porgy and Bess" de Gershwin et c'est chanté comme ça :




    Mais comme le thème de l'opéra en question évoque la vie des noirs Américains, les intéressés ne tardent pas à mettre le morceau à leur propre sauce musicale.

    Exemple : Ella Fitzgerald et Louis Armstrong :



    Quand on l'a fredonné des milliers de fois, la version de
    de Nina Simone, que je qualifierais d' instrumental jazzy, remet les choses à zéro. C'est ma préférée.

    Nina Simone :

     






  • On ne sait jamais vraiment ce que l'on tient de ses parents. Parfois on croit en avoir une idée. On dit par exemple au milieu d'une conversation " Je crois que je tiens cela de mon père...!" Mais c'est toujours à propos d'un détail, d'un tic de langage ou d'un petit défaut.

    L'essentiel de ce que l'on tient de ses parents ressemble beaucoup à ce que l'on croit être sa propre personnalité, celle qui est censée ne rien devoir à personne, pas même à ses propres géniteurs !
    Et ce n'est que par hasard, , par exemple quand un propos généralement admis par la société vous fait bondir qu'on se pose la question "mais d'où je tiens ça ?"

    Dans son discours de clôture de l'université d'été de son parti, Mélenchon qualifie les auto-entrepreneurs d'"auto-esclaves".            Pour lui, artisans et petits entrepreneurs = esclaves ! 
    Et, en conséquence, salariés = hommes libres !

    L'idée me fait d'autant plus bondir que je sais qu'elle est partagée (selon les sondages) par beaucoup de gens en Europe, aujourd'hui !

    Je crois que je tiens de mon père, petit commerçant obstiné et travailleur, ce petit côté anarchiste de droite (Dieu, peut-être, mais Maître, jamais !) qui fait qu'on ne veut dépendre de personne, qu'on est certain de mieux y arriver tout seul, que les patrons, les associés et même les salariés sont des boulets dont il faut se débarrasser au plus vite si on veut réussir sa vie professionnelle .

    L'idée derrière tout cela (idée prétentieuse et erronée, certes,  mais qui fait avancer l'entrepreneur)  est que le monde est divisé en deux catégories : les larbins et les aventuriers, ceux qui ne font que se plaindre et ceux qui agissent, ceux qui aiment obéir et ceux qui aiment commander, ceux qui veulent changer les choses et ceux qui s'en accommodent en s'en plaignant.   

    Tout cela s'accompagne d'une méfiance instinctive envers les grands de ce monde, envers les hauts fonctionnaires, envers le curé et le notaire, envers tous ces gens qui bénéficient de rentes de situations confortables sans avoir trimé pour les obtenir.

    Bon, ça , c'est le décor de fond. Tout cela est tempéré ensuite par les surcouches (comme on dit aujourd'hui) du respect dû aux autres, du respect de la loi, des contraintes de la vie en communauté, de la réflexion philosophique sur sa propre liberté et celles des autres...

    Mais même aujourd'hui, alors que j'ai bien compris qu'il faut de tout pour faire un monde, l'idée que le statut de salarié  (mieux : de fonctionnaire !) est l'idéal absolu de la réussite professionnelle (idée partagée, selon les sondages par une majorité de jeunes aujourd'hui) est une idée qui me fait bondir.

    Et je crois que je tiens ça de mon père !



  • J'ai eu la chance de ne pas connaître l'expérience terrible et humiliante d'un licenciement. Ca ne m'a pas empêché de me faire, comme tout le monde, beaucoup de cinéma dans ma tête à chaque fois qu'un chef me faisait une remarque désagréable.

    "Comment ? Que dites-vous ? Vous voulez me licencier ? Va te faire foutre, connard ! C’est pas toi qui me licencies, c'est moi qui m'en vais ! Hé oui, espèce d'incompétent, je ne veux plus voir ta gueule ! Je te donne ma démission !"
    Vous me croirez si vous voulez ( mais je suis sûr que me croirez) une bonne séance d'engueulade virtuelle permet ensuite de trouver plus facilement le sommeil !

    De même je n'ai pas eu l'expérience de ruptures amoureuses avec menaces, insultes, bris de vaisselle et le fameux "puisque c'est comme ça, je m'en vais, je te quitte !"
    Mais j'ai eu l'impression dans ma vie, et dans celles des gens autour de moi, que celui (ou celle) qui dit "je te quitte" c'est souvent celui qui avait envie de rester et qu'on a poussé dehors sans lui laisser le choix.


    Aujourd'hui, à les écouter, il semblerait que Montebourg ait décidé de quitter le gouvernement, de même que Hamon et Filipetti.

    C'est leur choix. C'est très courageux de leur part. S'ils changent d'avis, qu'ils n'hésitent pas à revenir, ils seront toujours les bienvenus au gouvernement !


  • A propos du virus Ebola, il fallait bien que quelqu"un se dévoue pour sortir une deuxième énorme connerie.

    La première a été celle d'un habitué de la bêtise triomphante, Jean-Marie Le Pen, suggérant que "Monseigneur Ebola" pouvait résoudre en trois mois le problème de la surpopulation des peuples du Tiers-Monde qui menacent de nous envahir.

    En nous épargnant donc, les virus étant censés savoir faire la différence entre un Mamadou M'bala et un Jean-Marie Le Pen...!

    Mais bon, il n'a pas insisté, sa fille a démenti… passons donc !

    Mais dans le camp opposé, dans le camp des gentils, il fallait bien aussi quelqu'un pour dire une sottise inverse et, en plus, sur un ton indigné !
    Hé bien, oui ! Et celui qui s'y colle est : le professeur Ian Mackay, de l'université de Queensland, en Australie qui déclare à propos de l'autorisation de traitements expérimentaux par l'OMS : "Même si ces morts sont tragiques,  les êtres humains ne sont pas des cobayes" ! On applaudit bien fort !


    Explication : Compte tenu que ce virus, qui fait peur à tout le monde, a déjà fait beaucoup de mort en Afrique, que les zones touchées par le virus s'étendent chaque jour un peu plus, que l'on sait que ce virus particulièrement mortifère risque de s'étendre à la planète tout entière et à provoquer une hécatombe, l'Organisation Mondiale de la Santé (l'OMS, donc) qui comprend des spécialistes de TOUS les pays a décidé d'autoriser des traitements expérimentaux. Autrement dit, d'autoriser des traitements qui n'ont pas encore été soumis à toute la procédure officielle exigée pour l'homologation des protocoles médicaux (qui durent parfois des années).

    Normal, l'OMS (qui représente tous les pays du monde) tente de répondre à une urgence, tente de répondre aux appels de détresse des Africains, à l'inquiétude du reste du Monde. La décision relève du principe que quand on fuit dans la panique une maison en feu, on ne s'inquiète pas prioritairement de savoir si on bien pensé à baisser le compteur électrique et si on a mis les produits de nettoyage toxiques en lieu sûr avant de s'enfuir. 

    Mais le professeur Ian Mackay n'en a rien à foutre de l'OMS, rien à foutre des experts, rien a branler de l'inquiétude des gens, rien à foutre de l'instinct de survie qui caractérise toutes les formes de vie sur terre, rien à foutre des malades qui crèvent ! Seuls lui importent les principes moraux, affichés haut et fort devant les caméras. C'est pour cela qu'il nous dit, le menton relevé et le port de tête altier !

    "Même si ces morts sont tragiques, les êtres humains ne sont pas des cobayes", a déclaré le professeur Ian Mackay, de l'université de Queensland, en Australie, joint par l'AFP.


  • Tous ont la certitude qu'il ne sera pas réélu, tous rêvent d'être face à lui au second tour de la prochaine présidentielle, mais tous préfèrent attendre. Attendre le petit coup de pouce du destin.

    - A Marine Le Pen, il manque le petit truc qui ferait d'elle le sauveur suprême ! Le petit truc qui ferait d'elle l'homme de la situation : par exemple, une énorme flambée de violence dans les banlieues, sous la bannière noire des islamistes, aux cris de "Allah ou Akbar"  et "chiens de Français, choisissez : l'islam ou le glaive d'Allah" 
     
    Ou alors
    Ou alors, le virus Ebola, ramené en France non pas par un "expatrié" (cela serait moins porteur en terme d'horreur) mais par un Africain fraîchement naturalisé. L'épidémie ferait des millions de morts essentiellement chez les Français de souche (moins protégés, forcément, contre les virus africains...). Les chaînes de télé passeraient en boucle des Français agonisants, leurs familles en pleurs puis une ancienne photo du responsable africain brandissant avec un large sourire son passeport français au milieu de sa smala africaine !



    Sarkozy, lui, se dit que si les Français sont convaincus qu'on ne peut pas faire pire que Hollande, ils ne sont pas encore convaincus que la droite ferait mieux.
    Non non il faut attendre encore un peu  !

    Ce qui serait bien, ce serait que la croissance reparte dans TOUS les pays SAUF en France, que le chômage diminue dans tous les pays sauf en France, que les impôts baissent dans tous les pays sauf en France, que la criminalité baisse dans toute l'Europe sauf en France. A coup sûr, les Français se diraient alors "ah Sarkozy, c'était le bon temps...!"


    Mélenchon, lui aussi, a envie d'attendre et d'en profiter pour se reposer. Les circonstances actuelles ne sont pas favorables à la prise du pouvoir. Il connait les leçons de l'histoire : les révolutionnaires, les vrais, les estampillés Marxistes, se sont toujours emparés du pouvoir en temps de guerre, jamais parce qu'un révisionniste ou un social-traitre avait trahi la classe ouvrière.
    Et les conditions d'une bonne guerre ne sont pas si éloignées que ça : en Russie, en Ukraine, au Moyen-Orient, en Afrique, en Libye... partout, ça bouge dans le monde.  Et si demain par un concours de circonstances incontrôlables, la France entrait en guerre, est-ce qu'elle confierait la direction de ses Forces armées à un "capitaine de pédalos" ? Bien sûr que Non, enfin, voyons ! Elle choisirait un chef, un vrai ! Un qui n'a pas la main qui tremble quand il s'agit de mater les récalcitrants, de mettre au pas les journaleux et de couper les têtes qui dépassent !  Un chef, quoi !!


    Bayrou, lui, se dit que son appel du 18 juin a déjà été lancé : c'était, selon son entourage, le jour où il a dit que la dette publique était trop importante. Il a été, paraît-il, le premier à le dire, ce qui lui donne une légitimité pour régler ce problème.

    Jusqu'ici, pour une raison inconnue, la Finance internationale nous prête à des taux très avantageux. Mais si un jour ça venait à changer, si la France se retrouvait en "défaut de paiement", c'est à lui qu'on ferait appel, puisque c'est lui qui a les solutions.
    Quelles solutions ? Ben, on lui a déjà posé la question et, n'écoutant que son courage, il a répondu franchement et sans démagogie : "réduire les salaires des ministres" ! Et tant pis si ça heurte la sensibilité des Français ! Non mais !


  •  

    Nasrani !

     


    Lettre de l'alphabet arabe placardée par les jihadistes sur les habitations des chrétiens de Mossoul, en vue d'un massacre programmé.

    Il correspond au N du mot Nasrani (Nazaréens) utilisé pour désigner péjorativement les chrétiens.

     

     

    Je suis un Nazaréen

     

     

     

     


  • Et là, j'ai besoin de dormir, de ne rien faire, de bayer aux corneilles" (Jean-Luc Mélenchon )

    Oh pauvre chou ! Il est fatigué, il est é-pui-sé ! Il n'en peut plus, le pauvre !

    Il a trop bossé ? Non, non , pas du tout ! Le problème, selon lui, c'est qu'il avait tout réussi, et que le PCF a tout gâché !
    ... à  (l'élection)  suivante on passait devant le PS. Tout était en place. Tout ça a été planté pour une poignée de postes aux municipales"
    Si c'est pas malheureux, ça quand même ! 

    Alors voyons, qu'est-ce qu'il a mis en place comme ça ? Qu'est-ce qu'il a réussi ?

    - A passer devant les socialistes ? Non !

    - A battre Marine Le Pen ? Non

    - A proposer une alternative crédible à gauche ? Non

    - A rassembler l'extrême gauche peut-être ? Non

    - A faire passer Hugo Chavez pour un grand démocrate ? Non

    - A faire passer l'idée que Robespierre était CONTRE la Terreur ? Non

    - A se faire passer pour une victime des journalistes ? Non

    - A nous convaincre que le Tibet a bien de la chance d'être sous la coupe de la Chine ? Non

    - A nous convaincre que le trader Jérôme Kerviel est une innocente victime ? Non

    - A nous donner envie d'acheter, comme lui, un smartphone chinois ? Non

    - A montrer qu'il savait rester digne dans la défaite  ? Non

    Mais putain, dis-nous, Jean-Luc, ce que tu as réussi ! On aimerait bien savoir, merde !



  • Ceux-là même qui, pour un contrôle d'identité qu'ils estiment injustifié,  hurlent  à la stigmatisation et dénoncent une islamophobie généralisée en France, considèrent aujourd'hui le coiffeur juif de Sarcelles comme personnellement responsable de ce qui se passe à Gaza !

    Mais ils maîtrisent parfaitement les règles qui régissent les opinions publiques occidentales : devant les caméras, ils dénoncent un "génocide" (et pourquoi pas ?), le racisme  ( ah oui, ça, ça  marche toujours avec les Français !)  et la mort d'enfants palestiniens ! Trois thèmes très consensuels en  Europe et aux Etats-Unis !
    Par contre, on ne les verra jamais protester contre les massacres du même ordre commis par Boko Haram ou les milices du califat instauré en Irak et en Syrie !  Ne mélangeons pas les torchons et les serviettes, ni Israël et le califat mondial qu'ils appellent de leur voeux !


    En face d'eux, Israël n'a pas encore trouvé son De Gaulle, ce mec qui arrivera au pouvoir avec mandat de mater la rébellion en sachant déjà qu'il signera la paix !
    Ils en sont encore au stade où étaient les crétins de l'OAS, persuadés qu'on peut, avec la seule force militaire,  "mater la rébellion" et "pacifier" définitivement un pays contre la volonté de la totalité de ses habitants !

    Le malheur, c'est que les chances que ce mec arrive sont de plus en plus faibles ! Il faudrait déjà qu'il possède, comme tous ceux qui ont signé un accord de paix en Israël, l'aura et le charisme d'un fondateur ou d'un Général qui a fait la guerre victorieusement, pour ne pas être soupçonné de faiblesse voire de trahison. Mais les Généraux israéliens qui ont fait une guerre, une vraie,  sont vieux maintenant. Et la génération d'après n'a connu que des poseurs de bombes contre des civils ou des lanceurs de cailloux, ce qui leur a mis dans la tête que le problème Palestinien n'est rien d'autre qu'un problème de maintien de l'ordre et de comblement de tunnels.  Rien de plus !



  • - On ne condamne pas à de la prison ferme pour des idées, c'est un principe démocratique

    - Oui mais peut-on appeler "idées" des injures racistes ? A un être humain comme toi, à quelqu'un dont le sang, les reins, le foie et tous les organes sont compatibles avec les tiens, tu lui dis "tu es moche comme un macaque, tu es bête comme un chimpanzé" et tu ricanes et tu appelles ça une "idée", une "opinion" ?

    - C'est peut-être très con, mais c'est une opinion

    - Mais non, c'est le désir d'humilier, de blesser les gens en leur contestant leur statut d'être humain ! Et a-t-on déjà vu un débat entre des êtres humains et des singes ? Et qui accepterait de débattre autour du thème "les noirs sont-ils des hommes ou des singes ?"

    A la limite, on peut participer à un débat qui aurait pour thème "nous les Blancs nous avons de toute éternité tout inventé, nous sommes les meilleurs et les plus forts". Là, au moins, il y a moyen d'avancer des arguments, de faire référence à l'histoire de l'humanité, à l'anthropologie, à l'ethnologie ! Mais un débat sur le thème " les nègres sont des singes" ne pourrait pas avoir lieu.

    - Mais si, et ça aurait même l'avantage de ridiculiser les auteurs du débat !

    - Mais les auteurs d'un tel débat n'ont pas peur du ridicule ! Ils ricanent, ils sont contents d'eux-mêmes ! Ils sont dans les gradins des stades à envoyer des bananes sur le terrain de foot en mimant des cris de singes et ils sont morts de rire ! Ils sont sur le Net, sur les blogs à faire des jeux de mots racistes et antisémites et ils ont des dizaines et des dizaines de commentaires élogieux ! Ils ne revendiquent pas le statut de penseurs ou d'intellectuels, ils revendiquent le statut du plus fort et du plus riche, c'est pas pareil ! Penser une seule seconde qu'une argumentation ou que le sens du ridicule finiraient par faire cesser leurs provocations racistes est une grosse erreur.  Il faut sanctionner.


    - Oui mais une condamnation comme ça par un tribunal Guyanais, présidé par un membre du syndicat de la magistrature et sur la plainte d'une association créée par la plaignante Guyanaise, ça fait un peu jugement partial !

    - Oui mais elle ne les fera pas, ses neuf mois de prison ferme. Elle fera appel et cette affaire retrouvera ses justes proportions !  Et je serais le premier désolé si elle devait faire de la taule, parce que condamner des gens à de la prison ferme pour ce genre de délit, c'est mettre le pied dans un engrenage qui nous mènerait tout droit à une société totalitaire. Le genre même de société que cette femme militante du Front National rêve d'instaurer, paradoxalement !








    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique