• La monarchie britannique, c'est un reine chef de 54 Etats, des règles protocolaires anachroniques, des problèmes de couple toujours dans l'air du temps (mariage avec une divorcée avant-hier, tromperie et vengeance féminine hier, accusation de racisme envers la belle-fille aujourd’hui)  et un sens de l'humour et de la fantaisie qui la rend définitivement sympathique.

    Sur cette photo, le prince Philip a pris la place d'un garde royal devant le palais de Buckingham . La reine (Lilibeth dans l'intimité) ne s'en aperçoit qu'au dernier moment .

     

    Modeste hommage


  • J’ai un four à micro-ondes. C’est pratique, ça fait gagner du temps.

    J’ai pris l'option "trafic" du GPS dans ma voiture. Pour éviter les bouchons et gagner ainsi du temps.

    J’ai un smartphone avec agenda partagé. C’est pratique pour les réunions avec les collègues. Ca me fait gagner du temps.

    Je prends rdv avec mon médecin sur Doctolib. Je gagne ainsi du temps.

    D’ailleurs, si c’est possible, j’utilise la téléconsultation. C’est plus rapide, ça me fait gagner du temps

    Pour mes clients, je privilégie les mails groupés plutôt que les coups de fil. Ca me fait gagner du temps.

    Je rentre tard chez moi le soir pour éviter les embouteillages. Au final, ça me fait gagner du temps.

    J’ai activé sur ma box un petit programme qui me présente les émissions intéressantes. Ca m’évite de chercher. Ça me fait gagner du temps.

    Avec tout ce temps gagné, je cherche pendant des heures sur internet d’autres trucs à acheter pour me faire gagner du temps.

     

     


  • J’ai beau ne pas aimer l’extrême droite, quand elle dit quelque chose comme ça :

    Tweet
    Jean MESSIHA
    @JeanMessiha
    24 nov.
    Ils ne veulent pas manger comme nous.
    Ils ne veulent pas s’habiller comme nous.
    Ils ne veulent pas se saluer, hommes et femmes, comme nous.
    Ils ne veulent pas parler ni vivre comme nous.
    Mais c’est nous les haineux, les intolérants et les racistes.
    Dingue non ?

    Je me dis : on a  beau exécrer l'extrême droite, il faut bien reconnaitre qu'ils sont quand même en phase avec la réalité du pays. Il a raison, le mec : par quelle étrange vision inversée de la réalité présente-t-on ceux qui ne veulent pas s'intégrer  comme des discriminés ? par quelle étrange raisonnement biaisé compare-t-on ceux qui se battent pour porter des signes distinctifs prosélytes avec les juifs des années 30 à qui on a imposé l'ignominie de porter l'étoile jaune ?

    Mais tout de suite après, je lis ce tweet de Philippot, daté d'hier 25/11

    Tweet
    Florian Philippot
    @f_philippot
    11h
    Joe Biden panique : énorme surprise en Pennsylvanie où un étrange pic de votes Biden a été découvert, et où un juge bloque la certification des résultats dans l’État !
    Trump ne lâche pas l’affaire face à une possible gigantesque fraude, et se bat pour la justice.

    Aucune source, aucun lien ! mais je me laisse encore une fois prendre au piège de la connerie abyssale de ces gens ! Je me précipite sur Google Actus : Rien, absolument rien à propos d’un juge qui aurait bloqué la certification des résultats des votes en Pennsylvanie !

    sur France Info ? rien !

    sur CNN ? rien !

    sur la BBC, peut-être ? rien

    sur Fox News : rien !

    Ah , peut-être vais-je trouver cette info sur Russian Today ? Mais non, rien de rien !

    J'abandonne la presse et je vais chercher dans trois moteurs de recherche différents "juge + bloque + résultats + pennsylvanie"… et l’info la plus récente que je trouve sur le sujet est :

    Fraude électorale en Pennsylvanie : un juge rejette les accusations de fraude

    Bref, le mec a inventé une info de toute pièce ! Ou alors il a relayé sans la moindre vérification une fake news sans aucun fondement, ce qui, dans les deux cas, montre l'étendue de sa connerie !

    Et je me dis : mais qu’est-ce que je suis con, p'tain,  d’écouter ce que ces gens racontent ! Pour eux, il n’y a pas de différence entre leurs fantasmes débiles et la réalité : le covid n’a tué personne, Macron a vendu à Merkel l’Alsace et la Lorraine en secret, le masque ralentit l’oxygénation du cerveau, la population de la France a été remplacée par une autre, Trump a gagné les élections "by a lot", les démocrates américains sont des pédophiles sataniques, une élite mondiale dirigée par Bill Gates et Jacques Attali va exterminer trois milliards de pauvres sur cette terre avec le vaccin... j'en passe et des meilleurs !

    L'extrême droite, c'est un concentré de connerie mais,  je ne sais pas pourquoi, à chaque fois, je me laisse prendre à aller vérifier leurs Fake news !

     

     

     

     

     


  • Au début de mon histoire, il y a la silhouette fluette d’une arrière-grand-mère paternelle que j'ai connu dans mon enfance et celle, décrite par ma mère, d’une arrière-grand-mère maternelle. Et leurs ascendants que je ne connaitrais jamais. Pour ce que j'en sais, ils étaient dispersés à travers la vaste monde. Ils ont vécu entre le Tigre et l’Euphrate, sur les bords du Gange, le long de la Seine. Ils ont voyagé dans toute l’Europe, en Amérique du Nord et dans les Caraïbes. Cette dispersion géographique, si elle fait de moi un authentique citoyen du monde, est de nature à compliquer considérablement les recherches généalogiques.

    Généalogie rêvée

    Mais peu importe, car je ne partage pas la frénésie de mes contemporains pour cette discipline. La recherche généalogique, telle qu’elle est pratiquée de nos jours, a un travers majeur : le premier général d’empire venu qui aura culbuté une aïeule dans l’arrière-cuisine d’une auberge, le plus petit marquis poudré évoqué au détour d’un témoignage épistolaire, prennent une place considérable et occultent tous les braves gens qui ont fait de vous ce que vous êtes aujourd’hui.

    Et puis, en matière de généalogie, j’ai toujours préféré laisser libre cours à mon imagination.

    Parfois en fermant les yeux, je remonte dans le temps, je survole mon père et ma mère, puis mes quatre grands-parents et puis, de plus en plus rapidement, mes huit arrières grands-parents et puis plus rapidement encore, je passe en revue une longue lignée d’inconnus qui défilent si rapidement que je ne peux distinguer que leurs silhouettes furtives, et je remonte, et je remonte encore, pour m’attarder au premier homo erectus rencontré. 

    Car c’est une certitGénéalogie rêvéeude absolue et scientifiquement prouvée :Au début de mon histoire, il y a un homme et une femme nus et couverts de poils qui, tout en luttant pour leur survie dans un milieu hostile, ont engendré un petit homme et l’ont protégé jusqu’à ce qu’il devienne autonome. Pour les aider plus tard quand ils seraient vieux ? pour laisser une trace de leur passage sur cette terre ? pour obéir à de mystérieux messages ADN ?

    Au début de mon histoire, il y a un homme qui se levait aux aurores pour contempler la beauté du monde, un homme en quête d’un coin de terre ou s’installer en attendant mieux, un nomade qui rêvait de devenir sédentaire une fois trouvé son paradis sur terre.

    Et puis aussi, parce que mon imagination est encore plus vaste que mes origines géographiques, j'ai d'abord cherché ma généalogie dans les premiers livres d'histoire illustrés de mon enfance.

    Ces livres d’histoires abondamment illustrés me fascinaient. Mon père m’avait dit une fois "nous sommes quelque part là-dedans, cherche bien". "Nous", c’était la famille, les aïeuls. Quelle idée de génie ! Je me suis mis à rechercher mes ancêtres dans les illustrations et j’ai continué bien après.

    Généalogie rêvéeJe passais rapidement sur la page "Jules César conquiert la Gaule" avec un dessin représentant Vercingétorix jetant ses armes aux pieds de César et je m’attardais sur la page suivante "les gallo-romains" illustrée d’images d’artisans en train de battre le fer, de bouchers devant leurs étals, d’ouvriers en train de tailler la pierre. C’était eux mes parents lointains, mes ancêtres.

    Si j’observais attentivement la page "Clovis roi des francs" ce n’était pas pour admirer Clovis debout sur un bouclier porté par ses hommes et acclamé par la foule, c’était pour rechercher qui, dans cette foule, pouvait avoir nos traits, ceux de ma famille.

    Généalogie rêvée

    Je continuais et m’arrêtais à la page "Le temps de cathédrales" et j’observais avec attention ces ouvriers, burin et marteau à la main en train de travailler la pierre, ces paysans en train de porter de lourds fardeaux sur leurs épaules pour y rechercher mes ascendants.

    Mes ancêtres, j’en étais sûr, ne pouvaient être ni ces gueux sur le parvis de l’église en train de mendier, ni ces deux nobles en train de discuter avec un homme d’Eglise au premier plan.
    Mes ancêtres c’étaient ces petits bonshommes barbus qui soignaient les plaies du chevalier Bayard agonisant ou qui tendaient à Bernard Pallissy les bûches pour alimenter son foyer.

    Je faisais quelques fois la lecture à ma petite soeur, qui ne savait pas encore lire et je lui présentais nos ancêtres : "lui, c’est notre ancêtre du côté de papa… elle, c’est l’arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère de maman". Parfois, elle était sceptique : "Comment tu sais ça ? " - "Ben, c’est écrit là, regarde !" -"Ah oui !"

    Généalogie rêvéeCeci dit, je ne lisais pas que des livres d'histoire.  Mes héros étaient des héros de bandes dessinées : Prince Vaillant, Tex Cassidy, Akim ou de cinéma : Hercule, Ursus, Maciste, ou le fruit de mon imagination.

    Mais je rêvais d’ancêtres ! J’avais des parents, des oncles et des tantes, des grands-pères et des grands-mères, des cousins et des cousines… Il ne me manquait que des ancêtres, des vrais, pas des héros ! Des ancêtres dispersés un peu partout sur la planète, pour faire partie non pas seulement d’une famille, d’un clan, mais pour faire partie de l’Histoire, pour être partie prenante du vaste monde, pour être un membre de la grande communauté humaine !

     

     


  • Il s’est passé quelque chose, je ne sais quoi précisément, ni à quel moment ça a eu lieu. Je devais être occupé, ou assoupi, j’ai rien vu venir.

    Hier encore, les hommes ressemblaient à des vieux. Ils étaient tous chauves, bedonnants et moustachus. Souvent gentils mais imbus d’eux-mêmes, en général. Aujourd’hui, ils ne sont ni moustachus, ni bedonnants et ce sont mes potes. Où sont passés les vieux qui ressemblaient à des vieux ?

    Avant le whisky avait un autre goût, celui de la fête, des baptêmes,  des mariages et des nuits blanches. Le goût fort et amer de l’amitié et des fous rires, du rami et du poker ! Il avait aussi une musique, celle des remontrances des femmes, qui allait crescendo à mesure qu'on avançait dans la nuit. Aujourd’hui, il a plutôt le goût de l'ennui des soirées interminables animées par des "DJ".   Je cherche parfois à me saouler, mais je n’y arrive pas, je m'assoupis avant, et de toute façon, personne ne fait plus rien pour m'arrêter, c'est pas marrant.

    Il n’y a pas si longtemps que ça, les filles étaient belles, souriantes et insouciantes et leurs mères acariâtres, autoritaires et méfiantes. De véritables antidotes à l’amour. Mais  qu'est-ce qui a bien pu se passer, bordel, pour que ce soient elles, les mères, qui me paraissent bandantes aujourd'hui ? Ce serait moi qui aurais changé ? En si peu de temps ? Ou elles qui sont allées s’apprêter pendant que j’avais le dos tourné ?

    Avant, quand je débarquais dans une société, tout le monde était content de me voir remplacer le vieux chef de service qui ne comprenait plus rien aux nouvelles directives décidées par la Direction parisienne. Maintenant, si j’en crois une réflexion entendue récemment, il semblerait que je fasse partie de ceux qui sont "plus près de la fin que du début" de leurs carrières professionnelles. J’ai été vérifier : c’est vrai ! il me reste moins de trimestres à faire que de trimestres effectués. Beaucoup moins.  C'est une bonne chose, ça, ou pas ? je ne sais plus.

    A quel moment tous ces changements se sont-ils produits ? Moi je sais que je n’ai pas changé, que je suis resté le même ! Les rêves qui hantent mes nuits sont toujours les mêmes. Ce sont les gens qui peuplent ma vie  qui ont changé. Ce sont mes enfants qui ont grandi, mes collègues qui ont rajeuni et les femmes matures qui ont embelli ! Moi, je me connais bien : je sais que je n’ai pas changé ! Si c’était le cas, vous me connaissez, je vous le dirais !

     

     


  • Cher Docteur,

    C’est une grande victoire que je veux vous annoncer aujourd’hui : Je crois avoir trouvé ce matin d’où vient ma difficulté à comprendre et à communiquer avec les femmes d'aujourd'hui.

    Pour suivre vos instructions, j’ai mis sur papier les réflexions qui me sont venues à l’esprit, en attendant de m’allonger bientôt sur votre divan.

    Oh mon Dieu, comme je suis impatient de vous en parler de vive voix !

    En préalable, je voudrais vous dire que mon problème n’a rien à voir avec l’homosexualité refoulée que vous avez évoquée la dernière fois. Je vous demande donc instamment, Docteur, d’abandonner cette piste de recherche qui ne fait qu’augmenter mon angoisse au lieu de l’atténuer.

    Voilà, j’ai compris une chose très importante ce matin sous la douche : si dans ma vie, je n’ai pas aimé les femmes qui m’aimaient et aimé les femmes qui ne m’aimaient pas, c’est à cause de mon père. Et peut-être aussi à cause de ma mère.

    En effet, j’ai eu une illumination ce matin : les années passant, je ressemble de plus en plus à mon père : mêmes tics de langage, même gestuel et, peut-être aussi, si ça se trouve, même vision des femmes, partiellement en tout cas.

    Or, pour mon père, l’humanité féminine était divisée en DEUX catégories de femmes : les Saintes et les Autres.

    Dans la catégorie des Saintes figuraient de droit sa mère et ses grands-mères, par exception des femmes exceptionnelles comme Yvonne de Gaulle, et par tolérance sa propre femme (ma mère).

    Toutes les femmes qui ne figuraient dans la catégorie des Saintes étaient donc reléguées dans la catégorie des Autres. C’est-à-dire, des femmes intéressées, calculatrices, menteuses comme des arracheuses de dents, infidèles, mauvaises mères, nymphomanes, féministes, j’en passe et des meilleures !

    Notons au passage que paradoxalement, pour une raison qui reste inconnue à ce jour, c’est avec les femmes de la deuxième catégorie (les Autres) qu’il passait le plus clair de ses loisirs, délaissant de ce fait la seule Sainte qu’il avait sous la main, à savoir sa femme (ma mère).

    Mais pour moi les choses ne s’arrêtent pas là.

    Car ma mère, entre deux crises de jalousie hystérique contre son mari volage, entreprit très tôt de m’éduquer dans le respect des femmes pour éviter que je ne devienne un "voyou coureur et menteur" comme mon père.

    Et pour ce faire, ma mère m’expliqua tout au long de mes longues années de jeunesse, qu’il y avait DEUX catégories de femmes : les honnêtes femmes et les Autres ! Dans la catégorie des honnêtes femmes figuraient de droit sa mère et ses sœurs, par exception des femmes exceptionnelles comme Mireille Mathieu, et par tolérance quelques-unes de ses amies d’enfance.

    Toutes les femmes qui ne figuraient dans la catégorie des honnêtes femmes étaient donc reléguées dans la catégorie des Autres. C’est-à-dire, les voleuses de maris, les maîtresses, les femmes intéressées, calculatrices, menteuses comme des arracheuses de dents, infidèles, mauvaises mères, nymphomanes, féministes, j’en passe et des meilleures !

    Voilà pourquoi, Docteur, après avoir fait la synthèse des différents courants de pensées qui influencèrent ma vision du monde en général et des femmes en particulier, je suis arrivé à la conclusion qu’il est possible de distinguer DEUX catégories de femmes parmi celles qui ont jalonné ma vie :

    - D’une part celles qui m’ont aimé : les saintes, les honnêtes femmes,  les "fiancées", les bonnes cuisinières, les petites femmes d’intérieur, celles qui pleurent quand on hausse le ton, et qui haussent le ton  quand on salit le salon qu'elles viennent de nettoyer, bref, un peu les traditionalistes qu'on trouve  aujourd'hui dans la Manif pour tous.

    - Et d’autre part celles que j’ai aimées : hhhmmm... les voleuses de maris, les maîtresses, les femmes intéressées, les calculatrices, les menteuses, les infidèles, les nymphomanes, les dominatrices, celles qui vous draguent avec gourmandise et vous plaquent sans préavis, bref, les féministes qui partaient à la conquête du monde et du mâle avec sensualité et détermination !

    Vous comprendrez aisément, Docteur, mon désarroi quand je vois ce que les plus médiatiques d'entre elles sont devenues aujourd'hui : de simples lesbiennes haïssant les hommes, et les haïssant non pas dans l'objectif de prendre du plaisir à les faire souffrir, ni de les utiliser pour arriver à leurs fins, ni même pour les mettre à leurs pieds en esclaves soumis à leurs désirs, mais avec l'objectif avoué de vivre entre elles, sans aucun contact avec les hommes, refusant même d'écouter les poèmes et la musique pourtant souvent composés pour elles. Pour leurs congénères, en tout cas. 

    Vous comprenez bien, Docteur, que tout ceci explique la défiance et même -n'ayons pas peur des mots- la crainte que m'inspire la gent féminine d'aujourd'hui. 

     

     

     

     


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  • Q'est-ce que c'est con, un jugement comme ça !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ca veut dire quoi, exactement ? Qu’ils s’en foutent plein les poches avec de faux médicaments qui ne guérissent rien ?

    Ou que les médicaments guérissent bien, mais qu’il reproche à l’industrie pharmaceutique de ne pas être bénévole ?

    Ce type parle de plus en plus comme un beauf, je trouve !

    En disant cela, je ne le prends pas pour un con (ce serait pour le moins prétentieux de ma part) mais je le soupçonne de démagogie populiste façon gilet jaune avec peut-être quelques ambitions politiques derrière tout ça (même s’il s’en défend).

    Il parle souvent avec complaisance de son AVC en traitant tous les médecins d’incompétents. C’est curieux quand même ! Car il en est sorti indemne, ce qui n’est pas toujours le cas ! Et les médicaments utilisés avant, pendant et après l’opération ont quand même un tout petit peu servi à lui sauver la vie ! Et les médecins qui l'ont remis sur pieds n’étaient pas si incompétents que ça puisqu'ils lui ont conservé intacte sa faculté à leur cracher à la gueule quand il s'est rétabli !

    Il parle souvent de sa compagne qui a lutté contre le cancer pendant plus de quinze ans (il me semble). C’est quand même des médicaments produits par l’industrie pharmaceutique qui lui ont permis de survivre aussi longtemps, je pense ! Elle n’a quand même pas obtenu cette longue période de rémission grâce aux marabouts, à l’homéopathie, à la phytothérapie, ni grâce aux huiles essentielles ! C’est plutôt grâce à "ceux qui font des médicaments", je pense ! Et aussi grâce à des médecins compétents qui connaissaient leur métier ! Il y a cinquante ans, l’espérance de vie entre la détection d'un cancer et le décès était, en moyenne, de quelques mois, rarement de plus d’un an ! Si aujourd'hui sa chérie a tenu quinze ans, c'est quand même beaucoup grâce à "ceux qui font des médicaments"!

    Et maintenant, tu passes à la télé pour dire que les médecins sont tous des incompétents et que "ceux qui font les médicaments" sont des chiens voraces qui s’en foutent plein les poches sans aucun bénéfice pour nous ? Mais c’est vraiment trop excessif, comme jugement, Michel, trop populiste aussi, trop Gilet jaune, bref (allez, tant pis, j’ose !) trop CON, vraiment !

     

     

     

     


    2 commentaires
  •   Vacanciers d'aujourd'hui

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     Vacanciers d'hier      (rien n'a changé)

     

    Cré vin dieu!
    Voilà l'été, les vacanciers vont arriver
    Voilà l'été, les vacanciers vont arriver
    Y s'en viennent on sait pas d'où
    Y s'en vont par un autre bout
    Voilà l'été, c'est l'invasion des vacanciers.

     Lucien (c'est mon fils!)
    Écris donc "oeufs frais" sur la porte

    C'est les vacances, c'est la transhumance
    Les vacanciers, c'est comme les fourmis
    Ça se répand partout dans le pays
    Plus ça va et plus ça s'enhardit
    L'an dernier, j'en avais ben trouvé un dans mon lit, oui!

    Le vacancier du mois d'août, c'est vraiment une race à part
    C'est comme des hiboux avec leurs lunettes noires
    Y se promènent quasiment nus
    On voit plus de poil que de tissu
    Moi je rigole quand y s'assoient dans mes gratte-culs.

    Viens donc voir Germaine (c'est ma femme!)
    Regarde-moi celui-là
    Oh ben, c'est y un homme ou une femme?
     
    Oh ben c'est une femme, il a pas de braguette
     
    C'est les vacances, c'est la transhumance
    Les vacanciers, c'est comme les sauterelles
    Quand ça tombe, c'est pire que la grêle
    D'un seul coup, on en voit partout
    Y a vraiment que la pluie qu'arrive à en venir à bout !

    Le vacancier quand y roule, faut se jeter dans le bas côté
    Va falloir laisser les poules au poulailler
    C'est bien pis quand y s'arrête
    Y pense plus qu'à son gésier
    Faut que je mette du barbelé à mes poiriers !

    Attention Sophie (c'est ma cadette!)
    Je veux bien que t'ailles au bal
    Mais avec ton frère
    Avec tous ces parisiens !

    C'est les vacances, c'est la transhumance
    Les vacanciers, y sont comme la pluie
    Quand elle vient, on lui dit merci
    Mais on se sent mieux quand elle est partie
    Pourtant ça me plairait d'en trouver un pour la Marie!
    (C'est mon aînée! Et je sais pas quoi que je vais en faire)

    Cré vin dieu!
    Voilà l'été, les vacanciers vont arriver
    Voilà l'été, les vacanciers vont arriver
    Y a qu'une chose que je comprends pas
    C'est pourquoi qu'y viennent ici
    Moi, quand je veux des belles vacances
    Je monte à Paris!

    Avec la Jeannette, la Jeannette c'est...!!

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  • J’ai aimé et apprécié tour à tour Rocard, Mitterand, Chevènement, puis encore Rocard puis Valls.

    Je n’ai pas aimé Hollande même si j’ai voté pour lui.

    Je n’ai jamais aimé Jospin. Il vient de me rappeler pourquoi.

     

    Je me souviens...

     


  •  

    Islamophobie

     


     

    Islamophobie


     

     

     

     





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