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    L'humour quotidien au temps du Coronavirus


     


     


     


     


     


     

     

     


  • Macron a raison, après le Covid 19, rien ne sera plus comme avant !


      - Hmmm.... j'adore ton parfum ! c'est quoi ? 

      - JAVEL n°5 


     

      - Chérie, j'ai très envie de toi ce soir 

      - Moi aussi. Attends, je prends le gel 

      - Le gel lubrifiant ?

      - Non, le  gel hydroalcoolique !

     


     

     



  • En évoquant souvent avec ses vieux amis

    Le bon temps et aussi la vieillesse redoutée

    Sire Carlus se vantait qu’en matière de santé

    Il s’en était, ma foi, plutôt pas mal sorti


    Il avait échappé, affirmait-il tout haut

    Aux maladies du siècle, au redoutable Sida

    Au terrible cancer, aux cirrhoses du foie

    Aux affections du coeur et à celles du cerveau.


    Mais quand il se vantait, avec un peu de cynisme

    et de provocation, de son long tabagisme

    Payé au prix, modique,  d’un simple BPCO,

    Il ignorait sans doute que le destin, finaud,

    Présente toujours la note, les intérêts en sus,

    Et que cette fois-ci, sous les traits d'un virus

    Venu pour redresser la pyramide des âges

    Il pourrait bien chez lui faire un bref passage.

     

     

     


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    114 femmes avocates et pénalistes ont publié dans les colonnes du Monde une tribune pour rappeler les principes fondamentaux qui régissent nos démocraties.  Et de belle manière, je trouve !


    114 femmes, avocates et pénalistes, viscéralement attachées aux principes qui fondent notre droit et confrontées chaque jour à la douleur des victimes mais aussi, et tout autant, à la violence de l’accusation...  déclarent :

    ...aucune accusation n’est jamais la preuve de rien : il suffirait sinon d’asséner sa seule vérité pour prouver et condamner.

    (...)

    Il est urgent de cesser de considérer la prescription et le respect de la présomption d’innocence comme des instruments d’impunité : en réalité, ils constituent les seuls remparts efficaces contre un arbitraire dont chacun peut, en ces temps délétères, être à tout moment la victime.

    (...)

    Il est faux d’affirmer que l’ordre judiciaire ferait montre aujourd’hui de violence systémique à l’endroit des femmes ou qu’il ne prendrait pas suffisamment en considération leur parole.

    Nous constatons au contraire, quelle que soit notre place à l’audience, qu’une inquiétante et redoutable présomption de culpabilité s’invite trop souvent en matière d’infractions sexuelles. Ainsi devient-il de plus en plus difficile de faire respecter le principe, pourtant fondamental, selon lequel le doute doit obstinément profiter à l’accusé.

     


  • Meghan Markle s’est une fois de plus indignée contre la décision de la reine concernant la suppression du mot « royal » dans leur marque « Sussex Royal ». Paris Match

     

    Même si on ne suit pas avec assiduité les mésaventures de Harry et de Meghan, on n’a pas pu échapper depuis quelques mois aux états d’âme de Meghan et aux déboires du couple. Et tout ça me paraît si représentatif de notre époque et de ces mœurs !

    Car enfin, voilà une pimbêche qui se plaint depuis des mois de la trop grande rigidité du protocole royal, qui nous explique qu’elle étouffe dans cette famille au mode de vie obsolète, qui veut s'affranchir des trop nombreuses obligations liées au statut de membre de la famille royale et qui, après avoir obtenu sa liberté, déplore de ne plus avoir le droit d’utiliser le mot "royal" dans la publicité de la petite affaire qu’ils ont monté, elle et son mari !

    Elle voudrait donc comme tant de nouveaux venus dans de nombreux domaines, prendre ce qu’elle veut et refuser ce qui la dérange.

    Utiliser le titre de membre de famille royale britannique pour vendre de la pacotille et des shampoings démêlants, faire des "baby shower" à plusieurs centaines de milliers d’euros en s’affichant avec les plus grandes stars people, mais refuser le protocole en vigueur à la cour d’Angleterre, accepter la pension confortable que le couple reçoit en qualité de membre de famille royale mais refuser de faire la révérence à la reine.

    Tout cela me fait penser à ces Français plus ou moins récents qui acceptent tout naturellement tous ces détails qui font qu’on est fier d’être Français : un passeport qui vous permet de voyager partout dans le monde avec une protection consulaire très sûre, le rapatriement sanitaire en cas de problèmes graves, la scolarité et l’université gratuite, la santé gratuite, la liberté d’expression, le droit de vote, les allocations en tout genre pour aider les plus démunis et mille autres "petites choses" qui n’existent pas dans leurs pays d’origine, dans les pays dont ils sont fiers et qu’ils portent dans leurs cœurs, qui acceptent tout cela donc, mais qui voudraient refuser tout ou partie de ce qu'ils considèrent comme des contraintes insupportables : la laïcité, la démocratie représentative, l’Etat de droit, la liberté d’expression, le droit au blasphème, l'égalité homme-femme...


    Les uns voudraient bannir Colbert de la mémoire collective puisqu’il a rédigé un Code relatif à l’esclavage, les autres rétablir le délit de blasphème, d’autres encore établir des quotas raciaux ethniques à la télé et dans les équipes sportives, les autres enfin estime que la cathédrale de Notre-Dame est "walla, un tas de pierre". 

    Se sentir Français ou pas, telle est la question fondamentale, finalement.

     

     

     



  • Pauvre Madame Fignon

    Son mari Laurent, le champion cycliste, est mort d’un cancer. On disait il n’y a pas si longtemps "d’une longue maladie", tellement le mot faisait peur. Et elle écrit un livre pour raconter sa douleur, sa tristesse et pour dire sa révolte contre… les médecins !

    Dans un livre intitulé "Laurent", écrit avec Michel Cimes, elle reproche aux médecins au moins trois choses graves :

    1) Que Laurent Fignon ait été informé de son cancer alors qu’il conduisait sur l’autoroute

    2) Qu’il ait fallu attendre plusieurs mois (neuf mois dit-elle) avant qu’on lui dise qu’il s’agissait d’un cancer des poumons, (lui qui ne fumait pas, ajoute-t-elle)

    3) Que sitôt après la mort de son mari, la chambre ait rapidement été nettoyée et le lit refait.

     

    Pauvre Madame Fignon

    Moi aussi j’ai été confronté au cancer d’un proche et je sais la douleur qu’on peut éprouver à cette occasion. Mais moi, je ne me suis pas trompé d’ennemi. L’ennemi était ce cancer qui commençait à ronger de l’intérieur un petit corps d’enfant. Et nos alliés étaient ces médecins qui ont tout fait pour terrasser la bête et l’exterminer.

    Ca s’est passé il y a plus de 30 ans et je n’ai pas le souvenir que ni les médecins, ni les infirmières aient été d’une grande brutalité avec nous. Ils nous ont pourtant bien dit "les analyses le confirment : votre enfant à un cancer des lymphomes". Mais ni sa mère, ni moi n’avons trouvé ça brutal de leur part. C’était une information. Ils n’avaient aucune raison de nous dire "peut-être" alors qu'il n'y avait plus de doute. Ils n’avaient aucune raison de nous dire "nous sommes désolés" alors qu’ils n’y étaient pour rien !

    Desproges aussi m’avait énervé à l’époque avec sa fameuse blague "Chimiothérapie, métastases, Professeur Schwartzenberg, espoir : cherchez l’intrus !" Cette façon d’associer le messager à la mauvaise nouvelle qu’il apporte est puérile et injuste. Ca revient à donner raison à tous les faux culs, à tous les hypocrites, à tous les lâches qui préfèrent ne rien vous dire, et à considérer comme un ennemi celui qui se dévoue pour vous annoncer la mauvaise nouvelle ou pour vous aider. Et associer à la maladie ceux qui vous aident à lutter contre la maladie, je trouve ça insupportable !

    Examinons de plus près les griefs de Madame Fignon aux médecins :

    1) Laurent Fignon a été informé de son cancer alors qu’il conduisait sur l’autoroute

    La première chose à savoir est qu’un cancer n’est jamais annoncé brutalement pour la simple et bonne raison qu’il n’est JAMAIS découvert avec certitude fortuitement. Dans un premier temps, on soupçonne un cancer, et on déclenche une batterie d’analyses pour le confirmer.

    La brutalité, si brutalité il y a, vient du doute initial. On se doute bien, en fonction des analyses prescrites, que c'est le cancer qui est recherché. 

    Mais un médecin ne vous dira  JAMAIS que vous avez le cancer AVANT avant d’avoir reçu le résultat des analyses qu'il a prescrites tout simplement parce que, même s'il le soupçonne, il n'en a pas la certitude absolue.

    A mon humble avis, ce que le médecin a dit au téléphone à Laurent Fignon est quelque chose comme " J’ai reçu vos résultats. Passez me voir demain à 11 heures pour qu’on en parle" et évidemment, lui, il a traduit à sa femme "Merde les résultats sont positifs, j’ai le cancer".

     

    La deuxième chose est qu’il ne faut pas donner à son médecin son numéro de portable si on ne souhaite pas recevoir les résultats des analyses sur l’autoroute, ou en rendez-vous avec un client ou en train de faire l’amour à sa femme. Il faut lui dire "envoyez-moi les résultats par la poste", c’est plus sûr !

    Et puis, une fois qu’on lui a donné son numéro portable, comment le médecin peut-il savoir si vous conduisez au moment où il vous appelle ? C’est complètement puéril de reprocher à quelqu’un de vous téléphoner pendant que vous conduisez alors que vous êtes le seul des deux à savoir que vous conduisez !

     

    2) Il a fallu attendre neuf mois avant qu’on lui dise qu’il s’agissait d'un cancer des poumons, (lui qui ne fumait pas, ajoute-t-elle)

    Comment peut-on reprocher cela aux médecins ? Cela voudrait dire qu’ils avaient les moyens de faire un diagnostic plus rapidement mais qu’ils ont fait traîner les choses juste pour emmerder le malade ? Un malade atteint du cancer ? Et un sportif célèbre de surcroît ?

    Cela voudrait dire qu’il y a eu complot de plusieurs médecins (le généraliste, le cancérologue, le radiologue) pour retarder l’annonce du diagnostic ? Un énorme complot des médecins contre les malades ? ou des médecins contre Laurent Fignon seulement ? Et tout cela dans quel but ?

    De plus, ajoute-t-elle, comme un reproche, " lui qui ne fumait pas"! Là encore, un peu comme si les médecins étaient responsables de la maladie ! On croit entendre " Lui annoncer un cancer des poumons alors qu’il ne fume pas, quel culot, ces médecins !"

     

    3) Troisième reproche : sitôt après la mort de son mari, la pièce a été nettoyée et le lit refait.

    En fait, elle est retournée dans la chambre pour vérifier qu’elle n’avait rien oublié et elle a constaté que la chambre était déjà rendue disponible pour un autre malade. « La négation de toutes les peines endurées depuis des mois. Ultime violence », lâche-t-elle.

    Ca c’est le plus poignant mais le plus injuste aussi ! Bien sûr, on peut comprendre le choc qu’elle a eu ! Mais a posteriori, elle ne peut pas comprendre, elle ? Elle ne peut pas comprendre que les hôpitaux sont des lieux de soins et non des lieux de mémoire et de souvenirs ? Quelques mois, quelques années après, elle ne peut pas comprendre la nécessité sanitaire et hygiénique qu’il y a de nettoyer rapidement et complètement une chambre qu’un malade vient quitter et ce, quelque soit le motif du départ, décès ou guérison ?

    Pour moi, Valérie Fignon parle sous le coup de la douleur et du chagrin et dit n’importe quoi !

    Et moi, si je la critique, c’est peut-être parce que j’aurais tellement aimé qu’une femme m’aime comme ça, totalement, subjectivement, en faisant preuve de la mauvaise foi la plus totale, en attaquant le corps médical pour m’avoir laissé mourir, en refusant de m’oublier et de passer à autre chose, en estimant que c’est trop injuste que cela me soit arrivé à moi !

    Mais aucune femme ne m’a aimé comme ça ! ! Et ma fille a guéri du cancer ! Alors je peux me permettre d’être objectif !

    Et de critiquer les gens qui sont dans la peine !


  • Ceci est un billet d'humour (encore que...) 

    Hommage aux chacals violents et hargneux

    Ils sont cons, ils sont laids, ils sont incultes, antipathiques, violents, ils sont prétentieux et arrogants...!

    Et pourtant...

    Et pourtant, les plus belles nanas se battent pour sortir avec eux,  pour s'afficher avec eux, pour avoir l'honneur d'entrer dans leurs lits ! 

    Quelle injustice pour les braves moutons pacifiques que nous sommes !

    Ils les trompent ! pas de problème, elles pardonnent !

    Ils les plaquent ! pas de rancune, elles resteront leurs meilleures amies et continueront à les encenser !

    Ils les frappent !  Oh, pas grave, c'est juste la manifestation "d'une sensibilité à fleur de peau", du caractère entier et emporté propre aux génies !

    Les féministes, si promptes à crier au scandale pour des faits remontant à quarante ans quand ils concernent les moutons, ne diront rien quand  ces chacals recevront une récompense alors qu'ils ont été condamnés pour violences sexistes il y a trois ans ! 

    Et les députés..., oui, nos élus, la  représentation nationale..., que font-ils ? Hé bien, ils mettent l'Assemblée Nationale à leur disposition pour qu'ils puissent y déclamer "les grands textes de Victor Hugo et d'Olympe de Gouges" ! Hé oui, un de ces chacals va lire des textes de la première féministe française alors qu'il a déjà été condamné pour violences conjugales, et que son casier judiciaire affiche une liste de condamnations pour violence envers les femmes longue comme un jour sans pain  ! Et personne ne trouvera rien à y redire !

     

    Alors, que voulez-vous que je vous dise, moi ? Tant pis pour nous, pauvres moutons pacifiques et respectueux, nous n'avions qu'à être des chacals violents, pervers et hargneux  si nous voulions plaire à ces jeunes femmes, belles, diplômées, intelligentes, sensuelles et, nec plus ultra, si peu féministes envers les hommes comme eux !

     

     

     

     

     


  • Suite au récent scandale touchant le monde politique, nous avons décidé, avec l’aide de la BnF, de dévoiler un autre scandale tout aussi crapuleux commis en son temps par Alfred de Musset et sa maîtresse George Sand.

    Oh certes, il s’agit bien de textes échangés entre adultes consentants ! Oui, certes, les messages sont chiffrés.

    Il n’en demeure pas moins que des écrivains bénéficiant d’une notoriété nationale et enseignés dans les écoles auraient dû avoir à cœur d’être des modèles irréprochables du point de vue des mœurs et éviter de faire ainsi l’apologie de la luxure la plus vulgaire !

     

    Signé : le C.C.R.V.P.M.F.P.E.Q.M.

    Comité de Citoyens pour la Respect de la Vie Privée Mais Faut Pas Exagérer Quand Même

     

    Mot d'Alfred de Musset à George Sand

    Quand je mets à vos pieds un éternel hommage
    Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
    Vous avez capturé les sentiments d'un cœur
    Que pour vous adorer forma le Créateur.
    Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
    Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
    Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots
    Vous saurez quel remède apporter à mes maux.

    Réponse de l’intéressée

    Cette indigne faveur que votre esprit réclame
    Nuit à mes sentiments et répugne à mon âme

     

     


  • Je réfléchis en ce moment à une pétition appelant à la résistance et à la lutte contre l'obscurantisme. Des potes à moi sont déjà venus me proposer leurs signatures. Sympa, non ?

    Peut-être les connaissez-vous, d'ailleurs !

    Saurez-vous les reconnaître ?

     

     


  •  NB :  PdG : Parti de Gauche

    Juliette (chuchotant)
    - Ca va ? Tu te sens à l’aise ? Ma famille ne te gave pas trop ? Si tu veux, on s’en va…

    Roméo (chuchotant)
    - Non non, ça va ! Ils sont sympas, je trouve…

    Le père
    - Qu’est-ce que vous chuchotez tous bas, les amoureux ? Alors Môssieur Roméo, on s’est mis sur son 31 ? On a mis la cravate pour faire sa demande ?

    Roméo
    - Non, non… C’est votre fille qui m’a dit que…

    Le père
    - Taratata ! On ne me la fait pas, à moi ! ahahahahah ! Eeehhh, silence tout le monde ! y a Môssieu Roméo qui a quelque chose à nous dire !

    La famille
    - le discours… ! le discours… !

    Roméo
    - Euuhhh ! Je voulais vous remercier euuhh… de m’avoir invité à passer Noël avec vous. Vous êtes… euuhh… très sympas et… euhhh… je suis très touché… merci beaucoup !

    (la famille Capulet, déçue, se remet à dîner)

    Juliette (chuchotant)
    - Ca va ? Tu te sens à l’aise ? Ma famille ne te gave pas trop ? Si tu veux, on s’en va…

    Roméo (chuchotant)
    - Ca va ! ça va… ! Ils sont sympas…

    Le père
    - Alors Monsieur Roméo, il paraît que vous travaillez beaucoup ? Travailler plus pour gagner plus, c’est ça ? ahahahahahahaha !

    Juliette
    - Allez papa, laisse-le tranquille ! Tu vois bien que tu le gênes…

    La mère (vipère en position d’attaque)
    - C’est vrai, ça ! Qu’est-ce que vous faites, au juste ?

    Juliette
    - Maman… ! arrête !

    La mère (vipère crachant son venin)
    - Oh pardon ! Je ne savais pas que l'activité de Monsieur était honteuse...

    Roméo
    - Non, non, y a pas de problème ! Je suis dans… comment dire ? J'interviens auprès des entreprises pour les aider à... eeuuh…

    La mère (vipère repue)
    - pour les aider à licencier... Ok, on a compris ! Juliette, tu découpes le roti, s’il te plaît ?

    (Plus tard dans la soirée)

    La cousine
    - Non, c’est bon, là ! Il faut qu’il arrête, Sarko ! Il faut qu’il arrête, vous ne croyez pas, Roméo ?

    Roméo
    Qu’il arrête quoi ?

    La cousine
    Non mais, il faut qu’il arrête, merde !!! C’est bon, là ! Il faut qu’il arrête !

    Roméo
    Oui mais qu’il arrête quoi ?

    Le cousin
    - Arrête d’embêter Roméo, tu vois bien qu’il est sarkoziste…

    Roméo
    Non, non, pas du tout ! Je voulais juste…

    La cousine
    Oh, excusez-moi Roméo, je ne savais pas ! Mais il faut qu’il arrête, Sarko ! C’est bon, là… !

    Roméo
    Non, non ! Enfin oui, il faut qu’il arrête… !

    Juliette (en chuchotant)
    - Ca va ? Tu te sens à l’aise ? Ma cousine ne te gave pas trop ? Si tu veux, on s’en va…

    Roméo (en chuchotant)
    - Oui oui ça va, elle est sympa ! Elle veut que Sarko arrête.

    Juliette
    Ah quel phénomène, celle-là ! Qu’il arrête quoi ?

    Roméo
    Ben, justement, je sais pas ! J'ai posé la question et ils m’ont répondu que j’étais sarkozyste…

    Juliette
    Ben avec le costume cravate, tu m’étonnes… !

    Roméo
    Mais tu fais chier, merde ! C’est toi qui m’as demandé de m’habiller comme ça ! Si c’était pour me mettre mal à l’aise, c’est réussi, merci beaucoup !

    Juliette
    Mais arrête enfin ! je t’ai seulement dit d'être naturel ! Tu ne sais pas t’habiller autrement..!

    Roméo
    Mais à quoi ça sert d'être naturel si c'est pour leur donner l'impression que je suis l'ennemi de classe...?

    Juliette
    Qu'est-ce que tu racontes? Ca n'a rien à voir ! Si Mélenchon était ici ce soir, il serait en costume cravate, comme d'hab

    Roméo
    Hé bien, non, justement ! Pour lui, le costume cravate c'est pour saluer Chavez. Chez le peuple, c'est sans cravate et en vareuse d'ouvrier...

    Bon OK, j’ai fait ma BA, là, ça commence à me gaver ! on y va ?

    Juliette
    Ma famille te gave !? je savais que j'aurais pas dû t'inviter ! Ecoute, on en parlera demain mais, s’il te plaît, sois sympa, on ne va pas s’en aller comme ça, comme des voleurs !

     

     

     





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