• Un pour tous, tous Poutine.

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    Riez pour nous, beaux vrais pécheurs

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    Poutine a même réussi à dépasser  la vitesse de la lumière. C'est dire s'il est puissant !

     

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    Une condition du traité de paix : l'Ukraine devra adopter le principe de la  présidence à vie, pour se conformer au modèle de ses voisins russe et bélarusse.

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    Une étude auprès de 30.000 élèves semblent indiquer que le racisme systémique ET le sexisme disparaissent quand on apprend ses leçons et quand on fait ses devoirs. 

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  • Paint it black des Rolling Stones parlait de dépression. Le film Full Metal Jacket l'a définitivement associé à la guerre du Viêt-Nam.

    Une guerre qui, comme en Ukraine aujourd'hui, consistait,  avant d'envoyer la troupe sur le terrain, à bombarder tout ce qui bougeait.  Entre 1965 et 1973, l’armée américaine a largué sur le Vietnam deux fois plus de tonnes de bombes  que durant toute la Seconde Guerre mondialeCa n'a pas suffit.

     Extraits de Paint it black:

    I look inside myself
    And see my heart is black
    I see my red door
    I must have it painted black

    Je regarde en moi-même
    Je vois que mon cœur est noir
    Je vois que ma porte est rouge
    Je dois la faire peindre en noir.


    Maybe then I'll fade away
    And not have to face the facts
    It's not easy facing up
    When your whole world is black

    Et puis peut-être vais-je disparaitre 
    Pour ne pas affronter la vie
    Ce n'est pas facile de faire face
    Quand tout ton univers est noir.

     


  • Quand on est complotiste, on n’a peur de rien et surtout pas du ridicule. Et on commence toutes ses réflexions hautement intellectuelles par " je ne suis pas complotiste mais..."


    - Je ne suis pas pro Trump mais il faut bien admettre que l’élection présidentielle lui a été volée, c’est évident, c’est écrit partout !

    - Je ne suis pas complotiste mais il faut bien admettre que cette guerre en Ukraine qui commence juste au moment où le Covid finit, c’est curieux, non ?

    - Je ne suis pas antivax, mais il y a de nombreuses personnes dans mon entourage familial qui sont mortes ou paralysées à cause du vaccin. Pourquoi personne n’en parle ?

    - Je ne suis pas complotiste mais je crois que la date de fin du premier confinement a été fixée pour que les musulmans puissent fêter l’Aïd. Moi je dis ça, je dis rien !

    - Je ne suis pas complotiste Gilet jaune mais c’est quand même curieux que Macron soit en tête des sondages alors que tous les gens de mon entourage que j’interroge le détestent.

    - Je ne suis pas complotiste mais le fait que le candidat Zemmour ne fasse que 12 %, ça ne voudrait pas dire que 88 % des Français de souche ont déjà été remplacés ? C’est illégal de penser ça ?

    - Je ne suis pas complotiste, mais ça ne vous étonne pas que les sondages donnent Zemmour en baisse, comme par hasard juste au moment où Marion Maréchal lui a apporté son soutien… ! Un peu grosse, la ficelle, non… ?

    Je ne suis pas Pro-Poutine, mais les sanctions économiques vont se retourner contre nous. Car tout ce qui se passe en ce moment,  il l'a prévu dans le moindre détail. Dans quelques mois il deviendra le roi du monde et nous, ruinés par nos propres sanctions, nous irons lui faire allégeance.  

     

     


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    La gauche morale, celle des bien-pensants (que j'aime parfois), des indignés professionnels (que je n'aime pas du tout), bref, en gros, celle qui est en train de disparaître en ce moment a, pendant des années, bradé ses insultes politiques. Elle les a largement diffusées, sans mégoter, avec générosité et sans rien attendre en retour.

    Résultat : elle a gagné. Les insultes politiques utilisées autrefois par les différentes forces politiques ont disparu, remplacées par des insultes de gauche bien-pensante.

    Nazis, SS, Gestapo sont devenus les insultes les plus utilisées par les Occidentaux entre eux, mais également par le monde entier à l’attention des Occidentaux.

    Ainsi, les insultes Anti-France, métèques, sale nègre, sale juif et rastaquouère du XXe siècle ont disparu du lexique d’extrême droite pour être remplacé par… Nazis et SS. Ainsi les antivax, derrière le résistant Philippot défilent tous les samedis contre le gouvernement nazi qui viole les lois issues du procès de Nuremberg. Et au niveau international, le démocrate Poutine déclare la guerre à l’ennemi Zelensky, certes juif, mais surtout nazi en train de se livrer à un génocide.

    Génocide, justement, a aussi remplacé les tortures, mauvais traitements, oppression et camp de travail forcé. Avant, les génocides c'était la volonté de faire disparaître une "race" de la surface de la terre en tuant des millions de gens, femmes, enfants et vieillards compris. Avec la gauche européenne la notion a évolué (et on ne louera jamais assez le rôle essentiel que Raphaël Glucksmann a eu dans cette évolution) et désigne maintenant des camps de travail forcé ou une féroce répression politique ou religieuse. C’est le cas des Ouigours chinois victime de génocide sans qu’aucun chiffre, même estimé, du nombre de morts ne soit donné et en Ukraine où la répression exercée par l’Etat ukrainien contre des séparatistes lourdement armés par la Russie a obtenu le label "Génocide" par Poutine.


    Autre évolution remarquable, l’accusation de Racisme ! Cette accusation infamante utilisée, à juste titre, par la gauche progressiste dans la lutte contre l’esclavage, l’apartheid et la ségrégation, a beaucoup évolué. Aujourd’hui, alors que les lois punissent sévèrement toute discrimination raciale, certains accusent la société tout entière d’être raciste de façon systémique parce qu’il existe des racistes en son sein. Les mêmes gardent un silence assumé sur les discriminations religieuses ou ethniques existant dans leur patrie de cœur et n’hésiteront pas une seconde si vous insistez, avez vous accuser d’islamophobie.

    Et justement, pour terminer : les phobies.
    L’accusation de phobie est devenue l’insulte maîtresse pour clore le bec d'un interlocuteur. L’islamophobie, l’homophobie, la transphobie, la négrophobie, la LGBTQIphobie, la grossophobie, sont les fléaux de notre société et bien peu peuvent se vanter de ne pas être atteint d’une phobie condamnable. Même Poutine, utilisant pourtant habituellement un registre d'insultes très daté XXe siècle, accuse l’Occident de Russophobie. Ce qui laisse très clairement deviner qu’il a un conseiller occidental dans son équipe de communication.

     

     

     


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  • Toute guerre a ses peurs et ses fantasmes. Ca fait généralement partie de partie de la propagande. Mais pas toujours. Quelques fois on se crée nos propres fantasmes, histoires de se faire peur, de se motiver ou de convaincre les réticents. On raconte par exemple que les féroces soldats ennemis, hé bien…
    Ils viennent jusque dans vos bras,
    Égorger vos fils, vos compagnes !
    C’est effrayant quand même ! Non seulement ils viennent égorger fils et compagnes, mais en plus ils viennent le faire dans nos bras ...?

    Face à l’héroïque résistance ukrainienne, ou peut-être face à l’incapacité des Russes de remporter des victoires décisives en Ukraine, la communauté internationale, et les Russes eux-mêmes s'inventent des ennemis qui font peur.


    Le groupe Wagner
    L’horreur dans toute son horreur. On raconte qu’ils sont entrés en Ukraine avec pour mission d’exécuter le président Zélenski. Les jours de ce dernier seraient comptés. En vérité, le groupe Wagner est une milice de mercenaires féroces et sans pitié… face à des civils ou face à des soldats africains mal armés, mal entraînés. Leur réputation de barbarie les précède et terrorise les populations civiles. Mais je crois pas une seule seconde qu’ils fassent le poids devant une simple escouade d’armée régulière et surtout pas d’une armée européenne. Barbarie et férocité n’ont jamais été synonymes d’efficacité. On sait que le président Ukrainien a échappé à trois attentats. J’espère que c’est eux qui les ont lancés et qu’ils ont été éliminés sans pitié.


    Les Tchétchènes
    Les Tchétchènes ont perdu la guerre contre Poutine. Les Russes ont été beaucoup plus féroces qu’eux et ont réussi à les mater. Ce sont donc aujourd’hui des caniches dressés et tenus en laisse par leur Maître Poutine. Ils sont tellement soumis qu'ils n'ont même plus de rancune contre leur vainqueur et que leur maître Poutine peut les envoyer sur n’importe quel théâtre d’opérations sur un signe de la tête. Et ces caniches dans leur pays deviendraient des lions féroces face à l’armée ukrainienne qui tient tête à la deuxième armée du monde depuis plusieurs semaines, au grand dam du généralissime de ladite armée ? Allons, allons, soyons sérieux ! Se livrer à des attentats contre des civils est une chose, combattre une armée régulière en est une autre !


    Les Syriens
    Les Syriens ont un problème : ils veulent quitter leur pays soit parce qu’ils sont persécutés par le régime de Bachar soit parce que tout simplement ils ont envie de vivre à l'occidental avec tout ce qui va avec (liberté, allocation, médecine au top, possibilité avec un titre de séjour de voyager dans le monde entier). Les envoyer se battre en Ukraine serait une énorme connerie de la part de Poutine car aussitôt arrivés en Ukraine, ils n’auront rien de plus pressé que de passer à l’ennemi pour demander l’asile politique et aller s’installer en Allemagne, pays où ils savent qu’ils pourront trouver de la famille ou du moins une grosse communauté de compatriotes.

     

    Les amis chinois
    Les occidentaux aident l'Ukraine. Par amitié. Et Poutine pense pouvoir compter sur les Chinois pour compenser les pertes subies à cause des sanctions économiques occidentales. Par amitié, également. D’ailleurs, un ministre chinois a même déclaré que l’amitié entre les deux pays était solide comme le roc. C'est mal connaitre les chinois. Les Chinois n'ont pas d'amis. Même au temps de l'URSS, quand ils partageaient tous les deux la même idéologie marxiste, ils avaient réussi à trouver des points de divergence idéologique suffisamment graves pour traiter l'URSS d'ennemi "social-impérialiste" cherchant à coloniser le monde. Alors penser qu'ils vont se fâcher avec les riches clients occidentaux qui assurent leur croissance économique et l'excédent de leur balance commerciale pour aller s'acoquiner avec un mégalomane ayant perdu le sens des réalités est une connerie abyssale.

    Et puis, on ne le dira jamais assez,  en milliards de dollars, en 2021, le PIB de la Chine était de 18 460 et celui de la Russie de 1 703 soit 9 % du PIB chinois.
    Un petit peu comme si on disait que la France se fâcherait avec la moitié de la planète pour soutenir le Venezuela. Par amitié. (Encore que... avec Mélenchon président...!)

     

     

     


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  • Macron ne veut pas débattre, en tout cas au premier tour, si j’ai bien compris. Et peut-être aussi au deuxième, mais il sera moralement et politiquement obligé de s’y plier, à mon avis.

    Qu’est-ce qui se cache derrière l’envie de débattre des uns et la réticence des autres ? On peut dire en résumé que moins on a de chances de gagner, plus on a envie de débattre et vice et versa. Et ce pour au moins deux raisons


    1- La petite phrase assassine

    Depuis les fameux "Monsieur Mitterand, vous n’avez pas le monopole du cœur" et "Vous êtes l’homme du passé" censés avoir fait gagner Giscard, tous les politiques sont persuadés (à tort ou à raison) qu’une petite pique assassine peut faire gagner une élection. On ne débat donc pas pour dérouler son programme et critiquer celui de l’autre (ça, on peut le faire tout seul ou face à des journalistes) mais principalement pour sortir une formule assassine préparée à l’avance qui collera à la peau du l'adversaire. De quoi se souvient-on des derniers débats ou propos de campagne présidentiels de ces dernières années ? En vrac,

    - De Mitterrand rétorquant sept ans plus tard à Giscard "vous êtes l’homme du passif"

    - D’un Mitterrand, fort de son statut de Président sortant, répondant à Chirac avec un sourire condescendant, "Vous avez raison, Monsieur le Premier ministre".

    - De la colère manifestement feinte et préparée de longue date de Ségolène,

    - De l’insignifiant Poutou obtenant rires et applaudissements avec sa formule "moi, je n’ai pas d’immunité ouvrière",

    - Des "pudeurs de gazelle" de Mélenchon,

    - De Zemmour déclarant avec un sourire satisfait "Madame Pécresse est Madame 20 h 02"


    2- Le suicide en direct

    Mais s'il y a l'envie de tuer l'adversaire avec le petit mot assassin, il y a aussi la crainte du suicide en plein vol au cours du débat, la connerie qui aura pour conséquence de vous disqualifier ou pire encore d’offrir sur un plateau un moment de gloire à votre contradicteur. Il y a deux exemples qui me viennent à l’esprit :

    - La peine de mort de Giscard

    Grossière erreur de Giscard qui tente de mettre Mitterrand en porte-à-faux avec la majorité des Français majoritairement favorable à la peine de mort. Il offre alors à son adversaire l’occasion de s’exprimer avec une  hauteur et une dignité qui seront  louées le lendemain par la presse et même par des soutiens de Giscard.

     

    - "Ils sont partout" de Marine Le Pen

    Là c’est Marine Le Pen qui se ridiculise devant un Macron qui n'en demandait pas tant. Déstabilisée, elle fera par la suite de grossières erreurs factuelles sur des questions économiques que Macron ne manquera pas de corriger en direct, ce qui a eu pour effet d’accentuer l'impression de compétence économique qu’il souhaitait justement mettre en avant.

     


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  • Quand on est un intellectuel, on condamne généralement la violence. 

    Généralement seulement. Car on peut aussi l'approuver. Si si, on peut approuver par principe  la violence, ca arrive. Par exemple, on se souvient de cette phrase célèbre de Mao : "La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie.... La révolution, c’est un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. Mao Zedong 

    Mais évidemment, que tu sois pour ou contre, il faut respecter une certaine cohérence. Si tu condamnes la violence, tu as le droit de te plaindre ensuite d'être victime de violence. Tout le monde te plaindra, personne ne te rira au nez.

    Mais si tu justifies la violence, même légère, comme dans l'exemple suivant... :

    ... et que tu la condamnes ensuite quand tu en es la victime, même légèrement, comme dans le cas suivant... :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour ou contre la violence ? Alors là, évidemment, tout le monde a le droit de se foutre de ta gueule !


     

     

    Morale de l'histoire :  Ah... p'tain, je le comprends, Eric ! Ca fait du bien d'être petit et mesquin !

    Morale de la morale : mais de temps en temps seulement, pas tout le temps, comme lui !

     

     

     

     


  • La propagande qui accompagne toute guerre joue sur des peurs cachées et des fantasmes que nous avons tous en nous. Des fantasmes qui n'ont qu'un lointain rapport avec la réalité et qui ont du mal à disparaitre même lorsqu'ils sont démentis par les faits. Ainsi pour beaucoup de gens Napoléon et Hitler sont des chefs de guerre et des stratèges exceptionnels. Ce sont pourtant des chefs qui ont perdu à la fin.  Et de la façon la plus minable qui soit.

    Napoléon , après la défaite de Waterloo, abdique et rentre à Paris (pour voir sa mère une dernière fois, dit-on) puis se rend à Rochefort d'où il tente de prendre un bateau mis à sa disposition  pour se rendre aux Amériques. Le blocus maritime des Anglais l'en empêche. Il décide alors de se rendre. Il va dans la garnison anglaise la plus proche et leur dit "Je viens me mettre sous la protection de votre prince et de vos lois.  Le sort des armes m'amène chez mon plus cruel ennemi, mais je compte sur sa loyauté" Il sera conduit à Plymouth où il apprendra en arrivant que les Anglais ont décidé de l'exiler sur l'île de Sainte-Hélène. 

    Hitler déclare le 16 avril 1945 que "les Russes vont connaître devant Berlin la plus sanglante défaite de tous les temps". Quinze jours plus tard, le 30 avril 1945, en hurlant que ses généraux l'ont trahi, il se donne la mort. Par cyanure et par balle pour être sûr de ne pas se louper.

    La guerre d'Ukraine a commencé par l'idée générale que Poutine était un génie avait tout prévu dans le moindre détail : la guerre rapide, l'entrée triomphale des chars dans Kiev libérée des nazis, la division de ces tarlouzes d'Européens incapables de prendre une décision, les sanctions économiques qui ne ne toucheraient la Russie que de façon marginale. 

    Quel génie ! La seule chose qui est vraie est qu'il a préparé cette guerre depuis longtemps.  Mais la guerre ne sera pas brève; ses chars entreront peut-être un jour à Kiev, mais pas sous les acclamations  de la foule; l'Europe s'est soudée, aussi bien ses dirigeants que sa population (à part la petite minorité d'éternels collabos, quel que soit l'ennemi), et les sanctions économiques handicapent fortement une économie russe déjà faible. 

    En 2019, dernière année non perturbée par la pandémie, le PIB de la Fédération de Russie pesait 43% du PIB allemand, 12% du chinois, et 8% de celui des États-Unis. (Or) le PIB ... est la base fiscale sur laquelle un État peut financer son effort militaire.

    Et l'idée qu'il pourrait contourner, sans aucune difficulté, les sanctions occidentales est démentie par la nouvelle suivante : 

    Les stratèges de génie


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  • Quinze raisons d’être Pro Poutine


    1- Je déteste Macron (ça t’emmerde, hein, espèce de macroniste, va !)

    2- J’adore Donald Trump (Donald, il dit que Poutine est un stratège de génie - comme Kim Jong-un !)

    3- J’adore Philippot (Florian, c’est le type qui sait se faire obéir. La preuve, ils ont fini par obtempérer à sa demande d’aller boire un café sans masque)

    4-J’adore Zemmour (T’as vu ? Dans cette histoire d’Ukraine, il avait tout prévu dans le moindre détail ! Un voyant extralucide, ce mec, un truc à peine croyable !)

    5- J’adore Le Pen (une vieille histoire d’amour. Les sagas familiales me font fondre, que veux-tu que je te dise ?)

    6- Les merdias nous mentent (je le sais, je l’ai lu sur Facebook)

    7- Je ne suis pas un mouton (je fais mes propres recherches sur Russia Today et Spoutnik. Les sites Qanon aussi sont pleins d’infos géniales qu'on ne trouve pas ailleurs)

    8- Je suis anti système (contre tout ce qui est pour et pour tout ce qui est contre. C’est Pierre Dac, un précurseur, qui nous définit ainsi)

    9- J’aime pas l’Otan (j’ai lu sur Russia Today que l’impérialisme américain nous oblige à manger des mac Do ! Tu te rends compte de la violence du truc ?)

    10- Je regrette l’URSS (un paradis où j’aurais adoooré vivre ! Mais Otan l'a tuer, quel dommage !)

    12- J’ai une âme de collabo (vivement Poutine en France que je dénonce tous ces traîtres à ma patrie).

    13- Je suis masochiste. (Les annexions, les punitions, les baillons me font jouir. Ben oui, c’est comme ça, que veux-tu que je te dise ? ! Je ne vais pas me refaire à mon âge !)

    14- J’ai une âme de insoumis. (Poutine est un chef, un vrai, sévère, cruel, viril… Tu l’as vu à cheval sur l’ours ? HHmmm, être fouetté par ce mec… !)

    15- C’est la seule façon de se faire inviter sur le plateau de Cyril Hanouna. (j’avais pensé à aller twerker dans une église mais un con l’a fait avant moi. Putain de merde, ça devient de plus en plus difficile de transgresser !)

     


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